sic! 2005 Ausgabe 11
PIERRE-EMMANUEL RUEDIN* / XAVIER-BAPTISTE RUEDIN**

La copie de partitions à des fins personelles

La copie effectuée dans une bibliothèque ou un copy shop, à des fins personnelles, de l’intégralité de partitions correspond à une pratique courante. Selon la doctrine dominante, l’art. 19 LDA interdit de telles copies, qui sont en revanche autorisées si l’utilisateur les effectue sur son propre appareil de reprographie. À ce régime légal subtil viennent s’ajouter des normes tarifaires. Il en résulte un système complexe, peu compréhensible pour les utilisateurs. Dans le contexte de la révision de la LDA, la présente étude tente de trouver des pistes conformes au droit international aptes à concilier réglementation et réalité pratique, dans l’intérêt tant des auteurs que des utilisateurs. [texte complet]


Zum Privatgebrauch werden alltäglich in Bibliotheken oder Copy-Shops Musikpartituren vollständig vervielfältigt. Nach herrschender Lehre verbietet Art. 19 URG solche Kopien. Verwendet der Benutzer hingegen sein eigenes Kopiergerät, sind sie zulässig. Für zusätzliche Verwirrung sorgen gemeinsame Tarife der Verwertungsgesellschaften. Vor dem Hintergrund der Arbeiten zur Revision des URG versucht dieser Beitrag völkerrechtskonforme Lösungsansätze in die Debatte einzubringen, die geeignet sind, Regelungen und praktische Wirklichkeit in Einklang zu bringen, sowohl im Interesse der Urheber wie auch der Benutzer. [Volltext]



* MMus, avocat, Londres et Neuchâtel.
** Avocat, assistant à l’Université de Neuchâtel.


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