sic! 2006 Ausgabe 2

"Proteos / Protos". Commission fédérale de recours en matière de propriété intellectuelle du 17 juin 2005

4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 3 I c. Lorsqu’une similarité entre les signes ou entre les produits peut être exclue, il n’est plus nécessaire d’examiner la similarité entre les produits respectivement des signes (consid. 2).
LPM 3 I c. Des produits interchangeables aux yeux des consommateurs sont considérés comme similaires. De même sont des indices de similarité les mêmes lieux de production, le même savoir-faire spécifique, les voies de distribution semblables, le cercle de consommateurs semblables ou encore un champ d’application semblable (consid. 3).
LPM 3 I c. Est décisif pour juger de la similarité entre des produits en l’espèce, le fait que les termes généraux utilisés pour désigner les produits englobent des produits qui, dans leur usage, sont étroitement liés entre eux (consid. 4).
LPM 3 I c. Il n’existe pas de similarité lorsque l’on ne peut déceler un lien étroit entre les produits dans le sens d’une coopération au but de transporter des médicaments, de compléter une thérapie ou d’un moyen concurrentiel (consid. 5).
LPM 3 I c. En supprimant une seule voyelle, en l’espèce la lettre «E», placée au milieu d’un mot, il n’est en règle générale pas possible de créer une nouvelle impression d’ensemble (consid. 6). [texte complet]


4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 3 I c. Kann eine Ähnlichkeit zwischen den Zeichen oder den Waren ausgeschlossen werden, braucht die Zeichen-, beziehungsweise Warenähnlichkeit nicht mehr geprüft zu werden (E. 2).
MSchG 3 I c. Können die Waren nach Meinung der Konsumenten ausgetauscht werden, besteht Warenähnlichkeit. Weitere Indizien für die Gleichartigkeit sind ausserdem gleiche Herstellungsstätten, gleiches fabrikationsspezifisches Know-how, ähnliche Vertriebskanäle, ähnliche Abnehmerkreise oder das Vorliegen eines ähnlichen Verwendungszwecks (E. 3).
MSchG 3 I c. Für die Beurteilung der Warenähnlichkeit ist im vorliegenden Fall entscheidend, dass die Allgemeinbezeichnungen, die für die Waren verwendet werden, auch andere Produkte umfassen, welche einen sehr ähnlichen Verwendungszweck haben (E. 4).
MSchG 3 I c. Es besteht keine Warenähnlichkeit, sofern es zwischen den Waren keinen engen Zusammenhang gibt bezüglich des Transports der Medikamente, der Vervollständigung einer Therapie oder im Hinblick auf die Konkurrenz (E. 5).
MSchG 3 I c. Das Weglassen eines einzigen Vokals, im vorliegenden Fall des Buchstabens «E» in der Wortmitte, vermag den Gesamteindruck nicht in massgebender Weise zu beeinflussen (E. 6). [Volltext]



Admission partielle du recours sur opposition; réf. MA-WI 27/04

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