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«Tierfutter». Bundesverwaltungsgericht vom 21. Juni 2010
8. Weitere Rechtsfragen
Futtermittelrecht
Futtermittel-Verordnung 2 I; HMG 2 I a, 4 I a, 58 II; VLF 8 II b. Tierarzneimittel unterliegen nicht der Futtermittelkontrolle. Tierarzneimittel sind Produkte, die Stoffe enthalten, denen nach der Swissmedic/ALP Einstufungsliste eine hauptsächlich pharmazeutische Funktion zukommt, oder Produkte, bei denen aufgrund ihrer Zusammensetzung aus objektiver Sicht von einer medizinischen Verwendung auszugehen ist und die insofern nicht zur oralen Fütterung von Nutz- oder Heimtieren «bestimmt» sind. Lediglich die Anpreisung eines Produktes als Futtermittel begründet nicht die Zuständigkeit der Futtermittelkontrolle, ebenso wie allein das Vorliegen einer Heilanpreisung nicht die Zuständigkeit von Swissmedic zu begründen vermag (E. 4.1, 4.8, 6.8.2).
Futtermittel-Verordnung 2 I; HMG 2 I a, 4 I a, 58 II; VLF 8 II b. Eine wegen Unzuständigkeit fehlerhafte Verfügung der Futtermittelkontrolle ist anfechtbar und nicht nichtig (E. 5).
Futtermittel-Verordnung 22 I; FMBV 20 VII b; LGV 10 II c, 31 III. Insoweit die gesetzlichen Vorschriften für unzulässige Heilanpreisungen auf Mischfuttermitteln mit denen für Lebensmittel und Gebrauchsgegenstände übereinstimmen, können die zur Lebensmittelgesetzgebung ergangenen Entscheide und Kriterien analog berücksichtigt werden (E. 6.1).
Futtermittel-Verordnung 22 I; FMBV 20 VII b. Für Futtermittel unzulässig sind Hinweise auf Eigenschaften der Vorbeugung, Erkennung, Behandlung oder Heilung von Krankheiten, wie sie im klinischen Wörterbuch oder in der Fachmedizin definiert sind, und Angaben, mit denen beim durchschnittlichen Käufer eine krankheitsvorbeugende Eigenschaft des Futtermittels suggeriert wird; dieses Verbot gilt nicht nur für Werbebotschaften, sondern auch für die eigentliche Produktbezeichnung (E. 6.5.2-6.5.7, 6.5.9, 6.5.11, 6.7.1-6.7.6).
Futtermittel-Verordnung 22 I; FMBV 20 VII b. Allgemeine, gesundheitsbezogene Werbung ohne Hinweise auf gesundheitliche Störungen ist zulässig (E. 6.5.1, 6.5.12, 6.7.7).
Futtermittel-Verordnung 20b; FMBV 20 VII b. Auch die Person, die Futtermittel nur einführt oder in Verkehr bringt, muss im Rahmen ihrer Tätigkeit geeignete Massnahmen ergreifen, damit die Futtermittel den gesetzlichen Anforderungen und damit auch Art. 20 Abs. 7 lit. b FMBV entsprechen (E. 6.8.4).
BV 8, 27, 94; LwG 169 I. Die bestehende amtliche Kontrollpraxis im Futtermittelbereich schliesst eine Ungleichbehandlung von Konkurrenten bei Verstössen gegen Deklarationsvorschriften aus (E. 7.4).
Futtermittel-Verordnung 2 II c, d, 14 I, 20b; FMBV 20 VII b. Der Inverkehrbringer von Futtermitteln ist nicht nur im Falle von selbst veranlassten unzulässigen Werbemassnahmen, sondern auch bei unzulässigen Zusammensetzungen von Futtermitteln die polizeirechtlich verpflichtete Verhaltensstörerin (E. 8.5, 8.6).
[Volltext]
8. Autres questions juridiques
Droit des aliments pour animaux
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 2 I; LPTh 2 I a, 4 I a, 58 II; ORAgr 8 II b. Les médicaments vétérinaires ne sont pas soumis au contrôle des aliments pour animaux. Il s’agit en effet de produits qui contiennent des substances qui, selon la liste de Swissmedic et de l’ALP, ont des fonctions principalement pharmaceutiques, ou de produits qui en raison de leur composition sont objectivement utilisés à des fins médicales et non pas pour l’alimentation par voie orale d’animaux domestiques ou d’animaux de la ferme. Le seul fait que la réclame désigne un produit comme aliment pour animaux ne fonde pas la compétence du contrôle des aliments pour animaux, tout comme le fait de mettre en avant des propriétés curatives ne fonde pas la compétence de Swissmedic (consid. 4.1, 4.8, 6.8.2).
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 2 I; LPTh 2 I a, 4 I a, 58 II; ORAgr 8 II b. Une décision viciée pour cause d’incompétence peut faire l’objet d’un recours mais n’est pas automatiquement nulle (consid. 5).
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 22 I; OLAIA 20 VII b; ODAlOUs 10 II c, 31 III. Dans la mesure où les prescriptions légales applicables lorsque des propriétés curatives d’aliments composés sont mises en évidence de manière illicite correspondent aux prescriptions applicables aux denrées alimentaires et aux objets usuels, la jurisprudence relative à la législation sur les denrées alimentaires peut être prise en compte par analogie (consid. 6.1).
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 22 I; OLAIA 20 VII b. Sont interdites les mentions prêtant à un aliment pour animaux des propriétés favorisant la prévention, le traitement ou la guérison de maladies, telles qu’elles sont décrites dans les dictionnaires médicaux, ainsi que les indications qui suscitent auprès de l’acheteur l’attente que l’aliment a un effet préventif contre certaines maladies; cette interdiction ne s’applique pas seulement à la publicité mais également à la description en tant que telle du produit (consid. 6.5.2-6.5.7, 6.5.9, 6.5.11, 6.7.1-6.7.6).
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 22 I; OLAIA 20 VII b. Une publicité générale qui a trait à la santé est admise si elle ne comporte pas d’indications se rapportant à des problèmes de santé (consid. 6.5.1, 6.5.12, 6.7.7).
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 20b; OLAIA 20 VII b. La personne qui ne fait qu’importer ou mettre sur le marché des aliments pour animaux doit également, dans le cadre de son activité, prendre les mesures appropriées pour que les aliments pour animaux répondent aux exigences légales et soient ainsi conformes à l’art. 20 al. 7 let. b OLAIA (consid. 6.8.4).
Cst. 8, 27, 94; LAgr 169 I. La pratique actuelle des contrôles officiels dans le domaine des aliments exclut une inégalité de traitement des concurrents en cas de non-respect des prescriptions de déclaration (consid. 7.4).
Ordonnance relative aux aliments pour animaux 2 II c, d, 14 I, 20b; OLAIA 20 VII b. Celui qui met sur le marché des aliments pour animaux est le perturbateur, au sens des dispositions de police, non seulement s’il est lui-même à l’origine d’une publicité illicite mais également si des aliments pour animaux contiennent des substances interdites (consid. 8.5, 8.6).
[texte complet]
Abteilung II; teilweise Gutheissung der Beschwerde; Akten-Nr. B-4448/2009
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