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"swisspartners (fig.)". Eidgenössische Rekurskommission für geistiges Eigentum vom 13. Februar 2006
4. Kennzeichenrecht
4.1 Marken
MSchG 2 a. Eine Wortneuschöpfung ist beschreibend, wenn sie nach dem Sprachgebrauch von den beteiligten Verkehrskreisen als Aussage über bestimmte Eigenschaften der Ware oder Dienstleistung aufgefasst wird (E. 6).
MSchG 2 a. Das Wort «Swiss» wird vom Publikum als «Schweizer» oder «schweizerisch» verstanden (E. 7).
MSchG 2 a. «Partner» drängt sich nicht unmittelbar als Hinweis auf die Organisation eines Unternehmens auf. Dies bedarf vielmehr einiger Gedankenarbeit. Allerdings beschreibt das Wort «Partner» in der Geschäftswelt oftmals untechnisch eine Beteiligung oder ein besonderes Vertrauensverhältnis (E. 8, 9).
MSchG 2 a. Das Wort «swisspartners» weist im internationalen Kontext darauf hin, dass eine Dienstleistung durch einen Schweizer Vertragspartner erbracht wird; für Finanzdienstleistungen ist «swisspartners» eine übliche Bezeichnung und nicht schutzfähig (E. 10).
MSchG 2 a. Die Kleinschrift einer Wortmarke ist nicht schutzbegründend (E. 11).
MSchG 2 a. Bestätigungsschreiben eines Unternehmens und/oder eines Rechtsanwalts sind keine objektiven Anhaltspunkte für das Vorliegen einer Verkehrsdurchsetzung. Durchsetzungsbelege müssen den zeitlichen, sachlichen und quantitativen Umfang des Gebrauchs eines Zeichens schlüssig nachzuvollziehen lassen (E.14).
MSchG 2 a. Der Rückweisungsantrag zur erneuten Prüfung der Verkehrsdurchsetzung eines Zeichens durch das IGE ist abzuweisen, wenn das IGE die eingereichten Unterlagen bereits geprüft hat und im Rahmen des Beschwerdeverfahrens keine weiteren Belege eingereicht worden sind (E. 15).
[Volltext]
4. Droit des signes distinctifs
4.1 Marques
LPM 2 a. Un néologisme est descriptif lorsque les milieux intéressés, se fondant sur les usages linguistiques, le perçoivent comme un renvoi à certaines caractéristiques du produit ou du service (consid. 6).
LPM 2 a. Pour le public, le mot «Swiss» est la traduction anglaise de l’adjectif «suisse» ou du nom «Suisse» (consid. 7).
LPM 2 a. Le mot «Partner» n’est pas immédiatement perçu comme un renvoi à l’organisation d’une entreprise. Un effort de réflexion est nécessaire pour parvenir à cette conclusion. Dans les affaires, le mot «Partner» décrit cependant souvent, de manière non technique, une participation ou une relation de confiance (consid. 8, 9).
LPM 2 a. Dans le contexte international, le mot «swisspartners» indique qu’un service est fourni par une partie contractante suisse; en relation avec des services financiers, «swisspartners» est une désignation usuelle qui ne peut être enregistrée (consid. 10).
LPM 2 a. Le fait qu’une marque verbale soit écrite en caractères minuscules ne justifie pas son enregistrement (consid. 11).
LPM 2 a . Des lettres de confirmation d’une entreprise et / ou d’un avocat ne suffisent pas pour rendre vraisemblable que la marque se serait imposée. Pour que des documents soient pertinents, ils doivent permettre de déterminer l’étendue de l’usage du signe dans le temps, ainsi que du point de vue matériel et quantitatif (consid. 14).
LPM 2 a. La demande que le dossier soit retourné à l’IPI pour réexaminer si une marque s’est imposée dans le commerce doit être rejetée lorsque l’Institut a déjà procédé à l’examen des documents versés au dossier et que de nouveaux documents n’ont pas été produits lors de la procédure de recours (consid. 15).
[texte complet]
Abweisung der Beschwerde; Akten-Nr. MA-WI 03/05
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