sic! 2006 Ausgabe 10
ANDREAS GLARNER*

Werknutzung im digitalen Zeitalter: Strafrechtliche Betrachtungen zu Art. 19 Abs.1 lit. a URG und zum Schutz technischer Massnahmen

Tagtäglich laden Privatpersonen Tausende urheberrechtlich geschützter Werke wie Musikstücke oder Filme über das Internet zu sich auf die heimische Festplatte. Da die erforderlichen Lizenzen für die Zugänglichmachung nur in den wenigsten Fällen eingeholt werden, stammen die Downloads meist aus illegaler Quelle. Wie diese Vorgänge strafrechtlich zu würdigen sind, ist unklar und umstritten. Der nachfolgende Beitrag versucht, diese auch wirtschaftlich und politisch brisante Diskussion dogmatisch anzugehen und dadurch zu einer Klärung der Rechtslage beizutragen. Berücksichtigt wird dabei auch die sich im Gang befindliche Revision des URG, deren neue Strafnorm zum Schutz technischer Massnahmen einer kritischen Würdigung unterzogen wird. [Volltext]


Les particuliers téléchargent quotidiennement par Internet des milliers d’œuvres protégées par le droit d’auteur, p.ex. des films ou des morceaux de musique, et les enregistrent sur leur disque dur. Dans la mesure où les licences nécessaires pour communiquer ces œuvres n’ont été que rarement obtenues, ces téléchargements sont en général faits à partir de sources illégales. Leur qualification pénale n’est pas claire et donne lieu à controverse. L’article qui suit tente une approche dogmatique de la question, qui n’est pas sans répercussions sur les plans économique et politique et a ainsi pour but de contribuer à clarifier la situation juridique. L’auteur tient également compte de la révision de la LDA en cours, dont la nouvelle norme pénale destinée à protéger les mesures techniques fait l’objet d’un examen critique. [texte complet]



* Dr. iur., Rechtsanwalt, Zürich.

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