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«Transaktionsgebühr». Bundesverwaltungsgericht vom 2. Juli 2010
7. Wettbewerbsrecht
7.2 Kartellrecht
VwVG 48 I a–c; KG 27, 29, 30. Soweit der Beschwerdeführerin das aktuelle und praktische Interesse fehlt, kann die Frage der formellen Beschwer offen bleiben, da die Voraussetzungen gemäss Art. 48 Abs. 1 lit. a–c VwVG kumulativ erfüllt werden müssen (E. 4.2, 4.3).
KG 29, 30; VwVG 48 I c. Aufgrund der in Rechtskraft erwachsenen Befristung der ersten einvernehmlichen Regelung und der vertraglichen Natur einer solchen Regelung ist es dem BVGer verwehrt, den Parteien einen bestimmten Inhalt vorzuschreiben, zumal die kartellrechtliche Beurteilung des Sachverhaltes noch aussteht. Auch eine Weisung an die Weko muss unterbleiben, das Sekretariat zu beauftragen, mit den Parteien Verhandlungen für eine einvernehmliche Regelung eines bestimmten Inhaltes aufzunehmen, da dies sowohl ins Ermessen der Weko, eine einvernehmliche Regelung zu genehmigen, als auch in jenes des Sekretariats, über eine solche zu verhandeln, eingreifen würde. Soweit die Gutheissung eines Antrags das mit der Beschwerde verfolgte Ziel nicht zu erreichen vermag, fehlt es am erforderlichen schutzwürdigen Interesse (E. 5.1-5.1.7).
VwVG 48 I c; KG 29, 30. Wenn der geltend gemachte Einnahmeausfall sich nicht unmittelbar aus der angefochtenen Verfügung ergibt, liegt kein schutzwürdiges Interesse vor, sondern lediglich ein Versuch, auf dem Beschwerdeweg eine nicht genehme Transaktionsgebühr zu verhindern, die die Beschwerdeführerin als Mitglied von Kartengremien, welche diese Transaktionsgebühren beschlossen hatten, nicht verhindern konnte (E. 5.2-5.5).
KG 29, 30, 49a; VwVG 48 I c. Die Freiheit der Parteien, sich auf eine einvernehmliche Regelung einzulassen, wird nicht aufgrund der Interessenabwägung zwischen dem Sanktionsrisiko und der Rechtssicherheit, welche eine genehmigte einvernehmliche Regelung vermittelt, in Frage gestellt, sondern nur falls Anzeichen für einen widerrechtlichen Druck seitens der Weko oder des Sekretariats bestünden. Mangels eines solchen widerrechtlichen Drucks ist nicht zu beanstanden, dass sich die an der einvernehmlichen Regelung beteiligten Unternehmen verpflichtet haben, diese Regelung auch im Falle einer Beschwerde gegen die Genehmigungverfügung umzusetzen (E. 5.6, 5.7, 5.10).
[Volltext]
7. Droit de la concurrence
7.2 Droit des cartels
PA 48 I a–c; LCart 27, 29, 30. Lorsque la recourante n’a pas d’intérêt actuel ou pratique, la question de l’atteinte formelle peut rester ouverte, puisque les conditions de l’art. 48 al. 1 let. a–c PA doivent être réalisées cumulativement (consid. 4.2, 4.3).
LCart 29, 30; PA 48 I c. En raison de la durée limitée du premier accord amiable, qui est entré en force, et de la nature contractuelle d’un tel accord, le TAF ne peut prescrire un contenu déterminé aux parties, d’autant que les faits n’ont pas fait l’objet d’un examen au regard du droit des cartels. La ComCo ne peut non plus se voir enjoindre de mandater le Secrétariat d’entreprendre des pourparlers avec les parties en vue d’un accord amiable ayant un contenu déterminé. Cela empiéterait sur le pouvoir d’appréciation de la ComCo d’autoriser un accord amiable, ainsi que sur celui du Secrétariat de mener des pourparlers dans ce domaine. L’intérêt digne de protection fait défaut lorsque l’acceptation du recours ne permettrait pas d’atteindre le but poursuivi (consid. 5.1-5.1.7).
PA 48 I c; LCart 29, 30. Si la perte de revenu litigieuse ne résulte pas directement de la décision contestée, il n’y a pas d’intérêt digne de protection, mais seulement une tentative de faire obstacle, par le biais d’un recours, à une taxe de transaction qui ne convient pas à la recourante, qui avait en vain tenté de s’y opposer au sein de l’organisation qui en avait décidé et dont elle est membre (consid. 5.2-5.5).
LCart 29, 30, 49a; PA 48 I c. La liberté des parties de conclure un accord amiable n’est pas remise en question par la pesée d’intérêt entre le risque d’une sanction et la sécurité juridique résultant d’un accord amiable autorisé, mais seulement s’il existe des indices d’une pression illégale de la part de la ComCo ou du Secrétariat. Faute d’une telle pression illégale, on ne peut remettre en cause le fait que les entreprises qui ont participé à l’accord amiable se soient engagées à le concrétiser même pour le cas où un recours serait formulé contre l’ordonnance d’autorisation (consid. 5.6, 5.7, 5.10).
[texte complet]
Abteilung II; Nichteintreten auf die Beschwerde; B-1324/2010
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