sic-online.ch
Navigation mit Access Keys
- [Alt + 0] - Startseite
- [Alt + 1] - Navigation
- [Alt + 2] - Inhalt
- [Alt + 3] - Kontakt
- [Alt + 4] - Sitemap
- [Alt + 5] - Suche
Schnellsuche
Hauptnavigation
«Sud Express / Expressfashion». Eidgenössische Rekurskommission für geistiges Eigentum vom 11. August 2006
4. Kennzeichenrecht
4.1 Marken
MSchG 3. In der OMPI-Umschreibung ist «Detailhandel» zweideutig und kann als eine Dienstleis-tung, welche gegenüber Produktions- und Handelsunternehmen oder gegen-über Letztabnehmern erbracht wird, verstanden werden (E. 5).
MSchG 3 I c. Der Verkauf von Gütern samt der zusammenhängenden Hilfsdienstleistungen wie Auslage, Bedienung und Verpackung, ist in der Eintragung für die entsprechende Warenklasse enthalten. Es würde dem Spezialitätsprinzip widersprechen, Detailhandel gleichzeitig in der Klasse 35 als «Dienstleis-tung des Warenverkaufs an Letztabnehmer» und als sämtliche Waren in den Klassen 1-34 einzuordnen. Auch ein neuerer EuGH-Entscheid, wonach die Eintragung «Detailhandel» künftig durch nähere Angaben über die Waren, auf welche sich die Dienstleistung bezieht, konkretisiert werden muss, ändert daran nichts (E. 6-8).
MSchG 11 I. Seit Inkrafttreten des neuen MSchG können Detailverkäufer ihre Ladenmarken in Zusammenhang mit ihren Waren im Sortiment rechtserhaltend gebrauchen, ohne diese auf den Waren oder deren Verpackung anbringen zu müssen (E. 9).
MSchG 3 I c. Eine Dienstleistungsmarke für ein Internet-Warenangebot richtet sich vor allem an Produzenten und Handelsunternehmen und eine Warenmarke für Bekleidungsstücke, Schuhwaren und Kopfbedeckungen an Letztabnehmer. Da Produzenten und Handelsunternehmen Produkte aufmerksamer unterscheiden als Letztabnehmer, sind keine Fehlzurechnungen zu befürchten (E. 4, 10, 11).
[Volltext]
4. Droit des signes distinctifs
4.1 Marques
LPM 3. Selon l’OMPI, le terme «vente au détail» est ambigu et peut être compris comme un service fourni à l’égard d’entreprises industrielles ou commerciales ou à l’égard des consommateurs finaux (consid. 5).
LPM 3 I c. La vente d’un produit, ainsi que les services liés tels que l’étalage et l’emballage du produit, sont couverts par l’enregistrement de la marque dans la classe de produits correspondante. Il serait contraire au principe de spécialité d’inclure le service de vente au détail à la fois dans la classe 35 comme «service de vente à l’égard de consommateurs finaux» et dans les classes de produits 1-34. Une récente décision de la CJCE selon laquelle des précisions sont nécessaires quant aux produits concernés par les services de vente au détail n’y change rien (consid. 6-8).
LPM 11 I. Depuis l’entrée en vigueur de la LPM, il suffit qu’un détaillant utilise sa marque en relation avec les produits de son assortiment; la marque ne doit pas nécessairement être apposée sur les produits ou sur leur emballage (consid. 9).
LPM 3 I c. Une marque de service pour une offre de produits sur Internet s’adresse avant tout aux fabricants et commerçants, tandis qu’une marque enregistrée pour les vêtements, les chaussures et la chapellerie s’adresse à des consommateurs finaux. Dans la mesure où les fabricants et les commerçants achètent des produits avec un degré d’attention plus élevé que les consommateurs finaux, il n’y a pas de risque de confusion (consid. 4, 10, 11).
[texte complet]
Abweisung der Beschwerde im Widerspruchsverfahren; Akten Nr. MA-WI 44/05
Fenster schliessen