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«Schmerzlinderung». Bundesgericht vom 23. Juni 2006
7. Wettbewerbsrecht
7.3 Sonstige wettbewerbsrechtliche Fragen
UWG 2, 3 b; HMG 1, 32 I; AWV 16 I, II. Für Heilmittelwerbung gilt nicht nur das Täuschungsverbot; vielmehr sollen die Konsumenten nicht rezeptpflichtiger Heilmittel zusätzlich durch eine korrekte Arzneimittelinformation geschützt werden. Demzufolge ist Heilmittelwerbung zulässig, wenn alle Angaben im Einklang mit der vom Heilmittelinstitut zuletzt genehmigten Arzneimittelinformation stehen und insbesondere nur vom Institut genehmigte Indikationen oder Anwendungsmöglichkeiten beworben werden (E. 2.1, 2.2, 5.1, 5.2).
UWG 2, 3 b; HMG 1, 24, 32 I, II a; AWV 16 I, II. Im Falle einer genehmigten Arzneimittelinformation, die keinen Hinweis über Umfang und zeitlichen Eintritt der Schmerzlinderung enthält, sind die Werbeaussagen «… die Schmerzen sind schon weg», «lindert den Schmerz bereits nach wenigen Minuten» und «…befreit vollständig vom Schmerz innert 30 Minuten» unzulässig, zumal sie offensichtlich der genehmigten Arzneimittelinformation widersprechen und zudem unzulässige Übertreibungen darstellen (E. 6.1, 6.2, 6.3).
BV 27, 36, 191; HMG 31 III. Einschränkungen von verfassungsmässigen Grundrechten bedürfen einer gesetzlichen Grundlage. Basiert das Verbot einer Werbung auf einem Gesetz, verletzt es die Wirtschaftsfreiheit nicht (E. 7).
[Volltext]
7. Droit de la concurrence
7.3 Autres questions de droit de la concurrence
LCD 2, 3 b; LPTh 1, 32 I; OPMéd 16 I, II. En ce qui concerne la publicité pour les médicaments, le principe selon lequel les consommateurs de médicaments non soumis à ordonnance doivent être protégés grâce à une information exacte sur le médicament s’applique en sus du principe de l’interdiction de la tromperie. Par conséquent, la publicité pour les médicaments est permise lorsque, d’une part, toutes les données sont conformes à la dernière version de l’information destinée au patient telle qu’elle a été approuvée par l’institution chargée d’autoriser les produits thérapeutiques et que, d’autre part, elle se limite en particulier aux indications et aux possibilités d’emploi reconnues par cette institution (consid. 2.1, 2.2, 5.1, 5.2).
LCD 2, 3 b; LPTh 1, 24, 32 I, II a; OPMéd 16 I, II. Si l’information destinée au patient, telle qu’approuvée, ne contient aucun élément sur l’étendue ni sur le début des effets soulageant la douleur, les slogans publicitaires tels que «… les douleurs ont déjà disparu», «apaise la douleur après quelques minutes déjà» et «… les douleurs disparaissent complètement après 30 minutes» sont interdites, dans la mesure où ils sont en contradiction avec l’information telle qu’approuvée et constituent de plus des exagérations interdites (consid. 6.1, 6.2, 6.3).
Cst. 27, 36, 191; LPTh 31 III. Les restrictions aux droits fondamentaux prévus dans la Constitution nécessitent une base légale. L’interdiction d’une publicité ne viole pas la liberté économique lorsqu’elle se fonde sur une loi (consid. 7).
[texte complet]
II. Öffentlichrechtliche Abteilung; Abweisung der Verwaltungsgerichtsbeschwerde; Akten-Nr. 2A.607/2005
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