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«1946/00». Commission fédérale de recours en matière de propriété intellectuelle du 9 octobre 2006
6. Droit de la technologie
6.1 Brevets d'invention
LBI 46a IV, 47. Si l’art. 46a al. 4 let. c LBI interdit de remédier à l’inobservation du délai de la réintégration au moyen de la poursuite de la procédure, autre est la question de savoir s’il est possible de demander la réintégration dans le délai de la poursuite de la procédure (question laissée ouverte) (consid. 2-4).
LBI 47. Le délai relatif de deux mois court dès la fin de l’empêchement, soit en particulier lorsqu’il n’y a plus de cause fondamentale non fautive à l’encontre de la réalisation de l’acte (consid. 4).
LBI 47. Le titulaire du brevet répond en principe du comportement de ses auxiliaires, en particulier des personnes de son service administratif. La connaissance du mandataire devant être attribuée au titulaire du brevet, il en découle que la réception d’un avis de transmission ne fait pas disparaître l’empêchement lorsque le mandataire n’en a pas eu connaissance à la suite d’une erreur des services d’expédition ou qu’il peut être mis au bénéfice d’une prestation fautive excusable (consid. 7).
LBI 47. La mauvaise organisation et les problèmes de communication interne entre mandataires sont le reflet d’un manque de diligence imputable au titulaire du brevet et ne saurait être assimilé à un comportement excusable (consid. 8, 9).
LBI 47 II. L’entrée en matière sur la demande de réintégration n’est subordonnée qu’au respect du délai. L’Institut n’a pas à apprécier les preuves avancées à l’appui des faits allégués et du même coup se déterminer quant au moment de la fin de l’empêchement, question qui doit faire l’objet d’une décision matérielle (consid. 10).
[texte complet]
6. Technologierecht
6.1 Patente
PatG 46a IV, 47. Art. 46a Abs. 4 lit. c PatG verbietet, das Versäumen der Frist für die Einreichung des Wiedereinsetzungsgesuchs mit dem Mittel der Weiterbehandlung zu beheben. Eine andere Frage ist jedoch, ob beim Versäumen der Weiterbehandlungsfrist die Wiedereinsetzung in den früheren Stand verlangt werden kann (Frage offengelassen) (E. 2-4).
PatG 47. Die relative Frist von zwei Monaten läuft ab Wegfall des Hindernisses; namentlich wenn keine unverschuldeten wichtigen Gründe mehr vorliegen, welche der Vornahme der Handlung entgegenstehen (E. 4).
PatG 47. Der Patentinhaber ist grundsätzlich für das Verhalten seiner Hilfspersonen und insbesondere seines administrativen Personals verantwortlich. Das Wissen des Bevollmächtigten wird dem Patentinhaber zugerechnet, weshalb der Empfang einer Übertragungsmitteilung ein Hindernis nicht wegfallen lässt, wenn der Beauftragte wegen eines Fehlers des Zustelldienstes davon keine Kenntnis hatte oder wenn er sich auf eine andere entschuldbare Fehlleistung berufen kann (E. 7).
PatG 47. Mangelhafte Organisa-tion und interne Kommunikationsprobleme zwischen Bevollmächtigten sind Ausdruck mangelnder Sorgfalt des Patentinhabers und stellen kein entschuldbares Verhalten dar (E. 8, 9).
PatG 47 II. Das Eintreten auf ein Gesuch um Wiedereinsetzung hängt von nichts anderem ab als von der Einhaltung der Frist. Das Institut hat die zu den behaupteten Tatsachen vorgebrachten Beweise nicht zu würdigen und sich auch nicht hinsichtlich des Wegfalls des Hindernisses festzulegen; dies ist eine Frage, die Gegenstand der materiellen Beurteilung ist (E. 10).
[Volltext]
Rejet partiel du recours; réf. PA 03/05
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