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«Cheffe de mission». Tribunal administratif fédéral du 21 février 2022
3. Protection de la personnalité et protection des données
LPD 8; PA 26, 27, 28. Si le recourant n’a demandé l’accès à ses données personnelles que sous l’angle de la LPD, en se référant à l’art. 8 LPD, il convient de considérer que le recours est également saisi par les art. 26 à 28 PA, auxquels l’autorité inférieure s’est référée et dans la mesure où le Tribunal applique d’office le droit fédéral (consid. 2.5).
PA 26, 27, 28. La PA ne prévoit pas de règle sur le moment auquel une preuve est versée au dossier. Il faut retenir qu’une pièce est versée à la procédure lorsque l’autorité la place dans le dossier de la procédure, le cas échéant à l’issue d’une décision expresse. Il en résulte que le droit d’être entendu ne peut être respecté que s’il porte sur un dossier complet, contenant l’ensemble des pièces dont l’autorité a pris connaissance et qui sont susceptibles de servir de fondement à sa décision, tout en prononçant, le cas échéant, une restriction de consultation au sens de l’art. 27 PA. A défaut de procéder ainsi, l’autorité inférieure ne respecte pas le droit d’être entendu du recourant au sens de l’art. 26 PA. Elle pourrait en outre contourner le mécanisme de l’art. 28 PA en empêchant l’autorité de recours de se prononcer sur le bien-fondé de la restriction faute de disposer de ces pièces dans le dossier d’instruction de la cause qui, lorsqu’il est produit, doit lui être complet (consid. 3.3.2).
PA 46 I a; LTF 93 I a. Une limitation de l’accès au dossier, notifiée sous forme de décision incidente en cours de procédure, n’entraîne en principe pas de préjudice irréparable au sens de l’art. 46 al. 1 let. a PA ou de l’art. 93 al. 1 let. a LTF (consid. 4.2).
[texte complet]
3. Persönlichkeits- und Datenschutzrecht
DSG 8; VwVG 26, 27, 28. Wenn der Beschwerdeführer den Zugang zu seinen Personendaten nur unter dem Gesichtspunkt des DSG unter Verweis auf Art. 8 DSG verlangt, ist die Beschwerde auch als nach Art. 26 bis 28 VwVG erhoben zu betrachten, auf die sich die Vorinstanz bezogen hat und insoweit als das Gericht das Bundesrecht von Amtes wegen anwendet (E. 2.5).
VwVG 26, 27, 28. Das VwVG enthält keine Regel zum Zeitpunkt, in dem ein Beweismittel zu den Akten gegeben wird. Es ist davon auszugehen, dass ein Beweismittel ins Verfahren eingeführt wird, wenn die Behörde es – gegebenenfalls nach einem ausdrücklichen Entscheid – zu den Akten des Verfahrens nimmt. Daraus folgt, dass das rechtliche Gehör nur eingehalten werden kann, wenn es sich auf eine vollständige Akte mit sämtlichen Aktenstücken bezieht, von denen die Behörde Kenntnis genommen hat und die als Entscheidgrundlage dienen können, wobei sie gegebenenfalls eine Beschränkung der Einsichtnahme nach Art. 27 VwVG verfügen kann. Andernfalls verletzt die Vorinstanz das rechtliche Gehör des Beschwerdeführers im Sinne von Art. 26 VwVG. Ferner könnte die Vorinstanz den Mechanismus von Art. 28 VwVG umgehen, indem sie die Beschwerdeinstanz daran hindert, sich zur Stichhaltigkeit der Beschränkung zu äussern, weil sie in der vorgelegeten Untersuchungsakte, die vollständig sein muss, nicht über diese Aktenstücke verfügt (E. 3.3.2).
VwVG 46 I a; BGG 93 I a. Eine während des Verfahrens als Zwischenentscheid mitgeteilte Beschränkung der Akteneinsicht führt grundsätzlich nicht zu einem nicht wieder gutzumachenden Nachteil im Sinne von Art. 46 Abs. 1 lit. a VwVG oder Art. 93 Abs. 1 lit. a BGG (E. 4.2).
[Volltext]
Cour I; recours irrecevable; réf. A-1221/2020
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