sic! 2022 Ausgabe 5

«Zusammenschluss». Bundesgericht vom 19. Oktober 2021

7. Wettbewerbsrecht

7.2 Kartellrecht

KG 48 I. Der Begriff der publizierbaren «Entscheide» ist umfassender als der Begriff «Verfügungen» und schliesst nicht bloss Entscheide, die in einer verwaltungsrechtlichen Handlungsform ergehen, mit ein. Vielmehr umfasst der Begriff «Entscheide» auch die Bedeutung des allgemeinen Sprachgebrauchs, also auch Stellungnahmen der WEKO, worum es in diesem Urteil ging. Entscheidend ist bei der Frage nach der Publizierbarkeit letztlich, dass ein Entscheid der Prävention, der Rechtssicherheit und der Transparenz der Verwaltungsaktivitäten sowie der Information anderer Behörden dient, was vorliegend zu einer Publikation führt (E. 4.2.1–4.6).
DSG 4, 5, 7, 19 I, 19 IV; KG 25 IV, 48 I. Art. 48 Abs. 1 KG stellt die gesetzliche Grundlage für eine bereichsspezifische aktive Informationstätigkeit dar und bildet die nach Art. 19 Abs. 1 DSG erforderliche formell gesetzliche Grundlage, um Personendaten zu veröffentlichen. Soweit es sich bei den personenbezogenen Daten um Geschäftsgeheimnisse handelt, hat der Gesetzgeber in Art. 25 Abs. 4 KG eine Spezialregelung getroffen, weshalb eine zusätzliche Prüfung im Rahmen des DSG nicht mehr nötig ist. Es ist dann nur noch zu prüfen, ob die in Art. 19 Abs. 4 DSG aufgeführten Interessen hinsichtlich Daten, die keine Geschäftsgeheimnisse betreffen, gegen eine Veröffentlichung sprechen [Frage vorliegend verneint] (E. 6.1–6.4.5). [Volltext]


7. Droit de la concurrence

7.2 Droit des cartels

LCart 48 I. La notion de «décisions» publiables au sens de l’article 48 LCart est plus large que celle de «décisions «au sens formel (en allemand: Verfügung ) et ne comprend pas uniquement les décisions rendues sous la forme d’un acte administratif. Le terme de «décisions» inclut notamment le sens que prend le mot dans le langage courant, comprenant donc également les prises de position de la COMCO, objets du présent arrêt. Le critère déterminant lors de l’évaluation du caractère publiable est alors le fait qu’une décision serve à la prévention, à la sécurité juridique et à la transparence des activités de l’administration ainsi qu’à l’information d’autres autorités, ce qui dans le cas d’espèce conduit à une publication (consid. 4.2.1–4.6).
LPD 4, 5, 7, 19 I, 19 IV; LCart 25 IV, 48 I. L’art. 48 al. 1 LCart pose les bases légales pour une communication active d’information spécifique à un domaine et constitue, en vue de l’art. 19 al. 1 LPD, la base légale formelle requise pour la divulgation de données personnelles. Si les données personnelles constituent des secrets d’affaires, le législateur a prévu une réglementation spécifique à l’art. 25 al. 4 LCart, raison pour laquelle un examen supplémentaire dans le cadre de la LPD n’a pas lieu d’être. Il ne reste alors plus qu’à examiner si les intérêts cités à l’art. 19 al. 4 LPD relatifs aux données qui ne concernent pas des secrets d’affaires s’opposent à une publication [question à laquelle il a été répondu par la négative dans le cas d’espèce] (consid. 6.1–6.4.5). [texte complet]



II. öffentlich-rechtliche Abteilung; Abweisung der Beschwerde; Akten-Nr. 2C_874/2020



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