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«Tellco Holding / Tell et al.». Bundesgericht vom 18. Mai 2021
4. Kennzeichenrecht
4.1 Marken
ZPO 232, 231, 228, 124. Werden in der Hauptverhandlung keine Beweise abgenommen, fallen die Schlussvorträge zur Vermeidung prozessualer Leerläufe mit den ersten Parteivorträgen zusammen (Bestätigung der bisherigen bundesgerichtlichen Rechtsprechung) (E. 3.2.2).
WSchG 7, 11; MSchG 2, 3; OR 951, 956 II. Nationale Wortzeichen – wie das Zeichen «Tell» – im Sinne von Art. 7 WSchG sind grundsätzlich als Markenbestandteil schutzfähig, jedoch nahe am Gemeingut und damit nur gering zur Individualisierung geeignet. Entsprechend genügen bereits bescheidene Abweichungen, um eine hinreichende Unterscheidbarkeit zu erreichen (in casu: Trotz strengem Massstab keine marken- oder firmenrechtliche Verwechslungsgefahr zwischen «TELLCO» und «TELL») (E. 5, 6.6.2).
ZPO 67. Die Geltendmachung firmen- und namensrechtlicher Ansprüche einer Tochtergesellschaft oder verbundenen Stiftung läuft trotz expliziter Abtretungserklärung auf eine unzulässige gewillkürte Prozessstandschaft hinaus (E. 9).
[Volltext]
4. Droit des signes distinctifs
4.1 Marques
CPC 232, 231, 228, 124. Si aucune preuve n’est recueillie lors des débats principaux, les plaidoiries finales doivent coïncider avec les premières plaidoiries afin d’éviter toute paralysie de la procédure (confirmation de la jurisprudence antérieure du Tribunal fédéral) (consid. 3.2.2).
LPAP 7, 11; LPM 2, 3; CO 951, 956 II. Les signes nationaux verbaux – comme le mot «Tell» – au sens de l’art. 7 LPAP peuvent en principe être protégés en tant qu’éléments d’une marque, mais se rapprochent toutefois du domaine public et ne se prêtent donc que faiblement à une individualisation. Par conséquent, des différences modestes permettent déjà de distinguer suffisamment un signe d’un autre (dans le cas présent: malgré un critère d’appréciation strict, il n’y a pas de risque de confusion entre «TELLCO» et «TELL» au titre du droit des marques ou du droit des sociétés) (consid. 5, 6.6.2).
CPC 67. La revendication en justice de prétentions découlant du droit à la raison de commerce et du droit au nom appartenant à une filiale ou à des fondations liées revient à faire valoir une cession de la qualité pour agir, qui n’est pas admissible en droit suisse malgré une déclaration explicite de cession des droits d’action (consid. 9).
[texte complet]
1. zivilrechtliche Abteilung; Abweisung der Beschwerde; Akten-Nr. BGer 4A_28/2021
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