sic! 2021 Ausgabe 7+8

«Airport Taxi Zürich Kloten AG / FLUGHAFEN TAXI ZÜRICH AG». Handelsgericht Zürich vom 18. August 2020

4. Kennzeichenrecht

4.3 Firmenrecht

ZPO 138 III a. Für die Annahme der siebentägigen Zustellfiktion ist ein bestehendes Prozessrechtsverhältnis vorausgesetzt, womit diese für die erste Verfahrenshandlung ausser Betracht fällt (E. 1.1).
ZPO 53, 153 II, 223 II. Bei versäumter Klageantwort trifft das Gericht einen Endentscheid soweit die Angelegenheit spruchreif ist, sprich das Klagebegehren hinreichend bestimmt und der Klagegrund im Hinblick auf die anwendbaren Rechtsnormen hinreichend substantiiert ist und das Gericht an der Richtigkeit der klägerischen Tatsachenbehauptungen keine erheblichen Zweifel hat (E. 1.2.).
OR 951, 956 I. Auch bei Übernahme gemeinfreier Bestandteile hat der Inhaber einer jüngeren Firma – soweit er diese frei wählen kann – mittels individualisierender Zusätze für hinreichende Unterscheidbarkeit zu sorgen. Umgekehrt kann aber die blosse Mitverwendung gemeinfreier Bestandteile nicht verboten werden (E. 2.3–2.4, 4.3).
OR 956 II. Der Antrag auf Löschung einer rechtswidrigen Firma – also die Beseitigung der Störung – ist als Teil des Unterlassungsanspruchs zulässig und (hier) verhältnismässig (E. 4.1–4.2). [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.3 Raisons de commerce

CPC 138 III a. L’existence d’un rapport juridique procédural est une condition préalable à la prise en considération de la fiction de notification à l’expiration d’un délai de sept jours, ce qui signifie que ladite fiction de notification n’est pas applicable lorsqu’il s’agit de la première étape de la procédure (consid. 1.1).
CPC 53, 153 II, 223 II. Si la réponse n’est pas déposée dans le délai imparti, le tribunal rend la décision finale si la cause est en état d’être jugée, c’est-à-dire que la demande est suffisamment définie, que le motif de l’action en justice est suffisamment motivé au regard des normes juridiques applicables et que le tribunal n’a pas de motifs sérieux de douter de la véracité des allégations du demandeur (consid. 1.2).
CO 951, 956 I. Même s’il reprend des éléments du domaine public, le propriétaire d’une raison de commerce plus récente doit veiller à lui donner un caractère distinctif suffisant en ajoutant des éléments individualisants – dans la mesure où il est libre de choisir lesdits éléments. En revanche, la simple utilisation d’éléments du domaine public ne peut pas être interdite (consid. 2.3, 2.4, 4.3).
CO 956 II. La demande de radiation d’une raison de commerce illicite – soit l’élimination du trouble – est, dans le cadre d’une action en cessation, recevable et (ici) proportionnée (consid. 4.1, 4.2). [texte complet]



Teilweise Gutheissung der Klage; Akten-Nr. HG200048-O



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