sic! 2019 Ausgabe 6

«Markenübertragung II». Handelsgericht Zürich vom 20. Juni 2018

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

ZPO 223 II. Die Rechtsfolgen einer versäumten Klageantwort werden durch 223 Abs. 2 ZPO abschliessend geregelt. Eine weitere Äusserung der Klägerin ist diesfalls einzig im Rahmen einer allfälligen Hauptverhandlung möglich. Findet eine solche nicht statt – namentlich, weil die Sache spruchreif ist – kann eine (unaufgeforderte) Stellungnahme daher ohne Verletzung des rechtlichen Gehörs aus den Akten gewiesen werden (E. 1.2).
ZPO 88. Regelt ein Markenkaufvertrag sowohl das Verpflichtungs- als auch das Verfügungsgeschäft, wird die Käuferin mit Vertragsschluss Inhaberin der vetragsgegenständlichen Marken. Spätere Streitigkeiten bezüglich des Rechts an den Marken unterliegen daher nicht der Gestaltungs- oder Leistungsklage, sondern der Feststellungsklage (E. 1.4, 3.3).
MSchG 17; LugÜ 33. Der registerrechtliche Vollzug einer Markenübertragung kann grundsätzlich auch durch die Erwerberin beantragt werden. Ein genereller Anspruch auf Anmeldung einer Übertragung durch die Veräusserin besteht daher nicht. Allerdings hat die Erwerberin ein berechtigtes Interesse, dass allfällige zur Registeränderung verlangte Erklärungen innert kurzer Frist abgegeben werden (E. 3.4). [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

CPC 223 II. Les conséquences juridiques d’un défaut de réponse sont réglées exhaustivement à l’art. 223 al. 2 CPC. Dans ce cas, une déclaration supplémentaire de la demanderesse est possible uniquement dans le cadre d’éventuels débats principaux. Si de tels débats n’ont pas lieu notamment du fait que l’affaire est en état d’être jugée, une prise de position spontanée peut par conséquent être refusée sur la base du dossier sans violation du droit d’être entendu (consid. 1.2).
CPC 88. Lorsque le contrat d’achat d’une marque réglemente tant l’acte d’obligation que l’acte de disposition, la conclusion du contrat rend l’acheteuse titulaire des marques qui font l’objet du contrat. Des litiges ultérieurs sur le droit aux marques sont soumis par conséquent à l’action en constatation et non à l’action en modification ou en exécution (consid. 1.4, 3.3).
LPM 17; CL 33. L’inscription d’un transfert de marque dans le registre des marques peut en principe aussi être requis par l’acquéreuse. Il n’existe donc pas de droit général de requérir l’inscription de la venderesse. L’acquéreuse a toutefois un intérêt légitime à ce que les déclarations exigées pour la modification du registre soient déposées dans les plus brefs délais (consid. 3.4). [texte complet]



Teilweise Gutheissung der Klage; Akten-Nr. HG170195-O

Fenster schliessen