sic! 2018 Ausgabe 4

«joy (fig.) / enjoy (fig.)». Bundesverwaltungsgericht vom 25. Oktober 2017

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

VwVG 4; BZP 17. Bringt das Gericht der Gegenpartei einen Parteiwechsel zur Kenntnis und widerspricht diese nicht, ist das als deren (stillschweigende) Zustimmung zum Wechsel zu interpretieren, wie Art. 17 BZP sie voraussetzt (E. 2).
MSchG 3 I c. Wird der Hauptbestandteil einer Marke übernommen (hier das Wortelement «joy»), besteht regelmässig Zeichenähnlichkeit, selbst wenn derselbe in einem gemeinfreien Zeichen (hier: «Enjoy») aufgeht (E. 5).
MSchG 3 I c. Die Verwechslungsgefahr hängt nicht von der Kennzeichnungskraft des angefochtenen Zeichens ab, die sich hier auf die grafische Gestaltung beschränkt. Dass bei dieser Betrachtungsweise ein Begriff des Gemeinguts gesperrt werden kann, ist unbeachtlich (E. 6, 7). [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

PA 4; PCF 17. Lorsque la partie adverse est informée par le tribunal de la substitution de partie et qu’elle ne s’y oppose pas, elle est réputée avoir consenti (tacitement) à cette substitution, la condition prévue à l’art. 17 PCF étant alors remplie (consid. 2).
LPM 3 I c. Lorsque l’élément principal d’une marque est repris (en l’espèce l’élément verbal «joy»), il y a en principe lieu d’admettre une similitude des signes, même si cet élément se retrouve dans un signe appartenant au domaine public (en l’espèce «Enjoy») (consid. 5).
LPM 3 I c. Le risque de confusion ne dépend pas de la force distinctive du signe attaqué (laquelle se limite en l’espèce à son graphisme). Peu importe que cette manière de voir puisse entraîner le blocage d’une notion du domaine public (consid. 6, 7). [texte complet]



Abteilung II; Gutheissung der Beschwerde; Akten-Nr. B-5312/2015

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