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«armasuisse». Bundesverwaltungsgericht vom 23. November 2015
1. Informationsrecht
BGÖ 2 I b, 5 I c, 5 III c; VBGÖ 1 III. Wird eine elektronische Agenda überwiegend zur Ausübung einer öffentlichen Funktion (in casu: als Rüstungschef) verwendet, betrifft dies die Erfüllung einer öffentlichen Aufgabe, selbst wenn im fraglichen Kalender auch private Termine eingetragen werden (E. 5.1).
BGÖ 5 III, 7 I a; VBGÖ 1 II. Die elektronische Agenda eines Amtsträgers ist mit Bezug auf einen in der Vergan-genheit liegenden Zeitraum kein provisorisches Arbeitsinstrument, sondern ein fertig gestelltes Dokument, bei dem die Gefahr von Missverständnissen marginal ist und dessen Publikation für die freie Meinungs- und Willensbil-dung bzw. den Handlungsspielraum der betroffenen Behörde kein Risiko darstellt (E. 5.2.1).
BGÖ 5 III c; VBGÖ 1 III. Die Agenda einer Führungsperson, die nicht bloss im Rahmen eines eng begrenzten Per-sonenkreises verwendet wird, dient nicht dem persönlichen Gebrauch, sondern stellt für aussenstehende Betrachter objektiv ein Abbild der dienstlichen Tätigkeit und Amtsführung dar; es handelt sich daher um ein amtliches Do-kument (E. 5.2.2, 5.3).
BGÖ 7 I. Soweit ein gesetzlicher Ausnahmegrund für den Zugang zu amtlichen Dokumenten nicht offensichtlich ist, muss die angefragte Behörde eine Zugangsbeschränkung für jedes Dokument bzw. jede Textpassage spezifisch begründen, wobei die Kategorienbildung bei vergleichbaren Sachverhalten zulässig ist (E. 6, 6.2, 6.3).
BGÖ 7 I, 10 III, 10 IV, 12 I, 12 II, 17; VBGÖ 7 II, 7 III, 10 I, 10 II, 15 IV, 16 II. Auch besonders aufwändige Ein-sichtsgesuche sind zulässig, soweit der Gesuchsteller für die Gebühren aufkommt und der Geschäftsgang der Be-hörde nicht während längerer Zeit erheblich beeinträchtigt wird; eine solche übermässige Beeinträchtigung wäre jedoch zu substanziieren, etwa mittels einer Stundenschätzung (E. 6.4).
BGÖ 1, 5 I, 7 II, 9 I, 9 II; VBGÖ 6 I, 6 II, 7 I; DSG 3 a, 3 c, 19. Soweit ein amtliches Dokument mit Bezug auf Perso-nendaten von Drittpersonen nicht anonymisiert werden kann, etwa weil sich das Zugangsgesuch gerade auch auf diese Daten richtet, ist mit Blick auf die betroffenen Personendaten eine einzelfall- oder zumindest kategorienwei-se Interessenabwägung zwischen dem Geheimhaltungsinteresse der Drittperson und dem sich aus dem Gesuch er-gebenden öffentlichen Zugangsinteresse vorzunehmen und ein ablehnender Entscheid konkret zu begründen (E. 6.5).
BGÖ 7 II; DSG 9 II, 19 Ibis, 19 IV a; VBGÖ 6 I. Mangelt es einer Verfügung, die ein Zugangsgesuch zu amtlichen Dokumenten ablehnt, an der gebotenen einzelfallbezogenen Interessenabwägung, ist sie rechtsfehlerhaft; die Be-hörde hat neu zu entscheiden (E. 7).
[Volltext]
1. Droit de l'information
LTrans 2 I b, 5 I c, 5 III c; OTrans 1 III. Si un agenda électronique est utilisé avant tout pour l’exercice d’une fonc-tion officielle (en l’espèce: chef de l’armement), il concerne l’accomplissement d’une tâche publique, même si des rendez-vous privés y sont également inscrits (consid. 5.1).
LTrans 5 III, 7 I a; OTrans 1 II. En relation avec une période passée, l’agenda électronique d’un agent public ne constitue pas un instrument de travail provisoire, mais bien un document ayant atteint son stade définitif d’élaboration, pour lequel le risque de malentendus est marginal et dont la publication ne présente aucun risque pour la libre formation de l’opinion et de la volonté d’une autorité, ni même pour la marge de manœuvre de l’autorité concernée (consid. 5.2.1).
LTrans 5 III c; OTrans 1 III. L’agenda d’une personne exerçant une fonction dirigeante et qui n’est pas uniquement utilisé dans le cadre d’un cercle restreint de personnes n’est pas considéré comme uniquement destiné à l’usage personnel, mais présente pour les observateurs externes une image objective de l’activité de service et de gestion; il doit donc être considéré comme un document officiel (consid. 5.2.2, 5.3).
LTrans 7 I. Aussi longtemps qu’aucune exception prévue par la loi n’est manifeste, l’autorité à laquelle l’accès à un document officiel a été demandé doit justifier avec précision la limitation à l’accès pour chaque document, respec-tivement pour chaque passage d’un texte; elle est toutefois autorisée à procéder à un classement par catégories (consid. 6, 6.2, 6.3).
LTrans 7 I, 10 III, 10 IV, 12 I, 12 II, 17; OTrans 7 II, 7 III, 10 I, 10 II, 15 IV, 16 II. Des demandes d’accès aux docu-ments particulièrement complexes sont également possibles pour autant que le demandeur paie les émoluments requis et que la gestion des affaires de l’autorité ne se trouve pas sérieusement compromise pendant trop long-temps; une ingérence d’une telle importance devrait toutefois être motivée, par exemple en estimant le nombre d’heures nécessaires (consid. 6.4).
LTrans 1, 5 I, 7 II, 9 I, 9 II; OTrans 6 I, 6 II, 7 I; LPD 3 a, 3 c, 19. Si un document officiel se référant à des données personnelles de tiers ne peut être anonymisé, notamment parce que la demande d’accès vise précisément également ces données-là, une pesée entre l’intérêt de la tierce personne au maintien du secret et celui du public à accéder à l’information doit être effectuée. Cette pesée se fera au cas par cas à la lumière des données personnelles concer-nées, ou au moins par catégorie. Une décision de refus doit être motivée de façon concrète. (consid. 6.5).
LTrans 7 II; LPD 9 II, 19 Ibis, 19 IV a; OTrans 6 I. Si une décision de refus d’accès à des documents ne se fonde pas sur une pesée des intérêts représentés dans le cas particulier, elle est entachée d’erreur, de sorte que l’autorité doit procéder à la prise d’une nouvelle décision (consid. 7).
[texte complet]
Abteilung I; teilweise Gutheissung der Beschwerde; Akten-Nr. A-7405/2014
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