sic! 2009 Ausgabe 3

«Verbotene Alkoholwerbung». Bundesverwaltungsgericht vom 2. Juli 2008

7. Wettbewerbsrecht

7.3 Sonstige wettbewerbsrechtliche Fragen

AlkG 42b I. Werbung für gebrannte Wasser ist auf sachliche Angaben und Darstellungen zu beschränken, die sich unmittelbar auf das beworbene Produkt beziehen. Als unsachlich gelten Angaben und Darstellungen, die dem beworbenen Produkt eine besondere Anziehung verleihen oder eine Gedankenverbindung mit ideellem Wert hervorrufen; insbesondere sind den Konsumbereich betreffende Werbebotschaften unzulässig, die suggerieren, dass der Konsum des beworbenen Produkts eine hohe Lebensqualität oder andere positive Empfindungen hervorruft (E. 3.3, 3.4).
AlkG 42b. Der Auftritt eines Sponsors unter einem Substitutionslogo ist zulässig, wenn der Zusammenhang zwischen diesem Logo und der Spirituosenmarke des Sponsors für den durchschnittlichen Konsumenten nicht erkennbar ist. Erkennbar ist dieser Zusammenhang insbesondere dann, wenn auf einem Flyer für eine Promotionsveranstaltung sowohl das Substitutionslogo wie auch die Spirituosenmarke abgedruckt sind. Diesfalls beurteilt sich die Zulässigkeit der unter dem Substitutionslogo vermittelten Werbebotschaft nach Massgabe von Art. 42b AlkG, weshalb die Verwendung des Substitutionslogos für das Sponsoring von sportlichen oder gesellschaftlichen Anlässen verboten ist (E. 4.2-4.4, 5.4, 6.4).
BV 9. Der Vertrauensgrundsatz ist nicht verletzt, wenn die Kombination einer Spirituosenmarke mit einem von der Eidgenössischen Alkoholverwaltung auf Übereinstimmung mit den alkoholrechtlichen Werbebestimmungen geprüften und als rechtens bezeichneten Substitutionslogo untersagt wird. Die Eidgenössische Alkoholverwaltung ist aufgrund der durch die Kombination herbeigeführten Veränderung der Sachlage nicht an ihre ursprüngliche Beurteilung gebunden (E. 6.2, 6.3). [Volltext]


7. Droit de la concurrence

7.3 Autres questions de droit de la concurrence

LFA 42b I. La publicité pour les boissons distillées ne doit contenir que des indications ou représentations objectives ayant directement trait au produit. Les indications ou les représentations ne sont pas objectives lorsqu’elles attribuent un attrait particulier au produit ou suscitent une association d’idées positives; en particulier, les publicités axées sur la consommation sont interdites lorsqu’elles incitent à croire que la consommation du produit favoriserait une qualité de vie élevée ou suscitent d’autres sensations positives (consid. 3.3, 3.4).
LFA 42b. L’apparition d’un sponsor sous un logo de substitution est permise lorsque le lien entre ce logo et la marque de spiritueux du sponsor n’est pas reconnaissable pour le consommateur moyen. Ce lien est en particulier reconnaissable lorsque le logo de substitution mais aussi la marque de spiritueux sont imprimés sur le même tract relatif à une manifestation. Dans cette hypothèse, l’admissibilité de la publicité avec le logo de substitution est examinée sous l’angle de l’art. 42b LFA, raison pour laquelle l’usage du logo de substitution est interdit pour le sponsoring de manifestations sportives ou publiques (consid. 4.2-4.4, 5.4, 6.4).
Cst. 9. Le principe de la confiance n’est pas violé lorsqu’on interdit la combinaison d’une marque de spiritueux avec un logo de substitution qui a été examiné par la Régie fédérale des alcools qui l’a déclaré licite au regard des dispositions de la loi fédérale sur l’alcool en matière de publicité. La Régie fédérale des alcools n’est pas liée par son premier examen si la situation de fait a été modifiée par la combinaison effectuée (consid. 6.2, 6.3). [texte complet]



Abteilung I; Abweisung der Beschwerde; Akten-Nr. A-1336/2006

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