sic! 2012 Ausgabe 4

«Botox». Bundesverwaltungsgericht vom 17. Oktober 2011

8. Weitere Rechtsfragen

Heilmittelrecht

HMG 4 II, 31; AWV 1 II c, 2 a, b. Je nach dem Gesamteindruck kann die Werbung für eine ärztliche Dienstleistung, die verbunden mit der Verabreichung eines bestimmten Präparates oder Wirkstoffes erbracht wird, eine Arzneimittelwerbung darstellen; Publikumswerbung für ein Arzneimittel kann auch durch eine Drittperson, die nicht die Herstellerin oder Vertreiberin des Arzneimittels ist, erfolgen unabhängig davon, ob eine Absatzsteigerung beabsichtigt ist oder nicht (E. 3.2, 3.4).
HMG 32 II a; AWV 1 II c, 2 a, b. Unzulässige Publikumswerbung liegt dann vor, wenn in Werbemedien im öffentlichen Raum oder im Internet der Bekanntheitsgrad eines Arzneimittels genutzt wird oder direkt oder indirekt auf ein Arzneimittel Bezug genommen wird, um in verharmlosender Weise für eine Dienstleistung mittels verschreibungspflichtiger Arzneimittel zu werben, auch wenn das Arzneimittel für diese Behandlung nicht zugelassen ist (E. 5.1, 5.2, 6.2.3).
MedBG 40 d. Ärzte haben sich im Rahmen ihrer Berufspflicht an die gesundheitspolizeilichen Vorschriften der Arzneimittelwerbung zu halten (E. 6.2.1).
HMG 66 I, II; AWV 23 I, II. Gegenüber Drittpersonen, die nicht Zulassungsinhaber sind, ist ein konkretisiertes Verbot von unzulässiger Publikumswerbung durch Verweis auf zulässige Formulierungen von Informationstexten verhältnismässig. Unverhältnismässig ist hingegen das konkrete Vorschreiben von Informationstexten durch Swissmedic in Form einer Vorkontrolle (E. 6.2.3, 6.3.1, 6.3.3). [Volltext]


8. Autres questions juridiques

Droit des produits thérapeutiques

LPTh 4 II, 31; OPMéd 1 II c, 2 a, b. Selon l’impression globale qu’elle produit, la publicité pour une prestation médicale liée à l’administration d’une préparation ou d’un principe actif déterminé peut représenter une publicité pour un médicament; la publicité pour un médicament destinée au public peut également être le fait d’un tiers qui n’en est ni le producteur ni le distributeur, et ce indépendamment de l’existence d’un objectif visant à augmenter les ventes (consid. 3.2, 3.4).
LPTh 32 II a; OPMéd 1 II c, 2 a, b. Une publicité destinée au public est illicite lorsque, dans les média publicitaires de l’espace public ou sur Internet, elle exploite la notoriété d’un médicament délivré sur ordonnance ou qu’elle établit un rapport direct ou indirect avec ce dernier en vue d’une publicité en faveur d’une prestation médicale, même si le médicament en question n’est pas autorisé pour ce traitement (consid. 5.1, 5.2, 6.2.3).
LPMéd 40 d. Dans le cadre de leurs devoirs professionnels, les médecins doivent respecter les prescriptions de police sanitaire relatives à la publicité pour les médicaments (consid. 6.2.1).
LPTh 66 I, II; OPMéd 23 I, II. Vis-à-vis de tiers qui ne sont pas les détenteurs d’une autorisation, il est proportionné d’interdire une publicité illicite en prescrivant les formulations qui peuvent être employées licitement. En revanche, il est disproportionné de la part de Swissmedic de soumettre des textes informatifs à un contrôle préalable (consid. 6.2.3, 6.3.1, 6.3.3). [texte complet]



Abteilung III; teilweise Gutheissung der Beschwerde; Akten-Nr. C-1795/2009

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