sic! 1998 Ausgabe 5

"Züri Woche / Zürichseewoche". Obergericht Appenzell-Ausserrhoden vom 24. Februar 1998

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 2 a. Eine Marke besitzt Kennzeichnungskraft und gilt nicht als Gemeingut, wenn das Publikum die Marke mit dem Produkt identifiziert. Ein Marke, die für ein bestimmtes Verlagsprodukt steht, das eine Auflage von 30 000 Exemplaren hat und seit 15 Jahren erscheint, weist eine solche Unterscheidungsfunktion auf (E. 3).
MSchG 3 I c. Verwechslungsgefahr besteht, wenn sich zwei Marken aufgrund des Gesamteindruckes in Klang und Schriftbild nicht unterscheiden. Bezeichnungen sind akustisch verwechselbar, wenn sie aus langen Wörtern bestehen, deren vorherrschende Wortteile identisch sind. Bei einem Produkt, das vor allem telephonisch vermarktet wird, kommt es auf die akustische und nicht auf die optische Unterscheidbarkeit an (E. 4). [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 2 a. Une marque a une force distinctive et n'appartient pas au domaine public, lorsque le public identifie la marque avec le produit. Une marque présente une telle fonction distinctive, lorsqu'elle est associé à un produit précis d'édition se distinguant de par un ouvrage de 30 000 exemplaires et une parution de 15 ans (consid. 3).
LPM 3 I c. Il existe un risque de confusion lorsque deux marques ne se distinguent pas de par leur impression d'ensemble tant au point de vue de leur sonorité que de leur typographie. Les désignations au marques se composant de longs mots, dont les parties prédominantes sont identiques peuvent être confondues à l'égard de leur sonorité similaire. Concernant un produit commercialisé principalement par téléphone, c'est la distinction sonore et non visuelle qui importe (consid. 4). [texte complet]



Gutheissung der Klage; Akten-Nr. P. 45/97; mitgeteilt von RA Dr. Ch. Born, Zürich


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