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"Le Temps". Tribunal fédéral du 10 août 1998
7. Droit de la concurrence
7.2 Droit des cartels
OJ 98 lit. e. L'auteur d'un recours à la Commission fédérale de recours pour les questions de concurrence peut contester la décision de cette commission qui déclare le recours irrecevable faute de qualité pour recourir par un recours de droit administratif au Tribunal fédéral (consid. 1b).
OJ 98 lit. e. Dans un recours de droit administratif contre une décision niant la qualité de partie au recourant, seules sont recevables les conclusions qui
portent sur le défaut de qualité pour recourir (consid. 1c).
LCart 40, 43 al. 4. Dans la procédure d'examen des concentrations d'entreprises, seules les entreprises participantes ont qualité de parties. Les tiers concernés ont le droit -- et parfois le devoir (art. 40 LCart) -- de prendre position par écrit sur la concentration en cause sans toutefois que cela leur confère la qualité de partie (consid. 3a).
LCart 43 al. 4. Ni l'actionnaire d'une société qui participe à la concentration, ni l'abonné à un journal, ni le président de l' Association des Amis d'un journal
appelé à disparaître du fait d'une concentration n'ont un intérêt propre et direct à l'annulation de la décision de la Commission de la concurrence autorisant la
concentration. Il en va vraisemblablement de même de l'association dont la majorité des membres se trouvent dans la même situation que le Président (consid. 3b et c).
LCart 33 al. 1. Une lettre de la Commission de la concurrence qui sollicite des opposants à une concentration leur avis sur celle-ci ne suffit pas à conférer
aux destinataires la qualité de partie à la procédure (consid. 3d).
[texte complet]
7. Wettbewerbsrecht
7.2 Kartellrecht
OG 98 lit. e. Der Beschwerdeführer kann den Entscheid der eidgenössischen Rekurskommission für Wettbewerbsfragen, welche die Beschwerde mangels Beschwerderecht für unzulässig erklärt hat, anfechten und mit Verwaltungsgerichtsbeschwerde an das Bundesgericht weiterziehen (E. 1b).
OG 98 lit. e. Bei einer Verwaltungsgerichtsbeschwerde gegen einen Entscheid, der das Parteirecht des Beschwerdeführers verneint, sind nur Anträge zulässig, die sich auf das fehlende Beschwerderecht beziehen (E. 1c).
KG 40, 43 Abs. 4. Im Verfahren der Prüfung von Unternehmenszusammenschlüssen haben nur die beteiligten Unternehmen Parteirechte. Betroffene Dritte haben das Recht -- und manchmal die Pflicht (Art. 40 KG)--, zum fraglichen Zusammenschluss schriftlich Stellung zu nehmen, ohne dass ihnen damit jedoch Parteirechte zukommen (E. 3a).
KG 43 Abs. 4. Weder der Aktionär einer am Zusammenschluss beteiligten Gesellschaft noch der Abonnent einer Zeitung und auch nicht der Präsident der "Vereinigung der Freunde einer Zeitung", die aufgrund eines Zusammenschlusses wohl aufgelöst würde, haben ein eigenes und unmittelbares Interesse an der Aufhebung des Entscheides der Wettbewerbskommission, die den Zusammenschluss genehmigt hat. Dies gilt vermutlich auch für eine Vereinigung, in der sich die Mehrheit der Mitglieder in derselben Situation wie der Präsident befindet (E. 3b und c).
KG 33 Abs. 1. Ein Brief der Wettbewerbskommission, mit dem die Gegner eines Zusammenschlusses aufgefordert werden, dazu Stellung zu nehmen, genügt nicht, um ihnen Parteirechte am Verfahren zu verleihen (E. 3d).
[Volltext]
IIème Cour de droit public; rejet du recours dans la mesure où il est recevable; réf. 2A.153/1998
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