sic! 2000 Ausgabe 6

"Telekom" (fig). und "T-One" / "Telecom 1 One" (fig.). Eidgenössische Rekurskommission für geistiges Eigentum vom 22. Juni 2000

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Eine Verwechslungsgefahr entfällt, wenn sich die Übereinstimmung zweier Zeichen auf gemeinfreie Elemente beschränkt (E. 2 und 7).
MSchV 23 Abs. 1. Stützt sich der Widerspruch auf mehrere, ganz verschiedene Marken, ist -- auch wenn die Widersprüche in einem Verfahren vereint wurden -- die Verwechslungsgefahr für jede Widerspruchsmarke separat zu prüfen (E. 3).
MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Verlangt die Beurteilung der Verwechselbarkeit eine Gewichtung der Kennzeichnungskraft, so ist vorweg durch eine Gleichartigkeitsprüfung der relevante Waren- und Dienstleistungsbereich abzugrenzen (E. 4).
MSchG 31 Abs. 1. Im Widerspruchsverfahren beurteilt sich die Waren- und Dienstleistungsgleichartigkeit allein nach dem Registereintrag; ein Zusammenhang zwischen verschiedenen für eine Marke beanspruchten Waren und/oder Dienstleistungen darf nicht angenommen werden (E. 5).
MSchG 2 lit. a. Auch geläufige Kurzformen von Sachbezeichnungen -- z.B. Telekom für Telekommunikation -- können Sachbezeichnungen sein und deshalb zum Gemeingut gehören (E. 6).
MSchG 1 Abs. 2 und MSchG 2 lit. a. Wird eine Sachbezeichnung oder eine aus gemeinfreien Teilen zusammengesetzte Marke als figürliche Marke hinterlegt, beschränkt sich ihr Schutzumfang auf die graphische Gestaltung (E. 6, 7, 10).
MSchG 1 Abs. 2. Marken aus einem Buchstaben und einer einstelligen Zahl sind -- auch wenn die Zahl als Wort ausgeschrieben wird -- schwache Zeichen (E. 9).
MSchG 31 Abs. 1. Im Widerspruchsverfahren kann eine Ähnlichkeit, die sich aus der Kombination verschiedener Widerspruchsmarken ergibt, nicht berücksichtigt werden (E. 11). . [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 3 al. 1 lit. c. Il n'y a pas de risque de confusion lorsque l'identité de deux signes se limite aux éléments du domaine public (consid. 2 et 7).
OPM 23 al. 1. Lorsque l'opposition fait l'objet de plusieurs marques, toutes différentes les unes des autres, le risque de confusion doit être examiné séparément pour chacune d'entre elles -- même si les oppositions ont été réunies en une seule procédure -- (consid. 3).
LPM 3 al. 1 lit. c. Lorsque l'appréciation du risque de confusion exige une pondération de la force distinctive, il faut d'abord procéder à une distinction des produits et services concernés en examinant leur similitude (consid. 4).
LPM 31 al. 1. En procédure d'opposition, la similitude entre produits et services ne s'apprécie qu'en fonction de l'inscription au registre; un lien entre différents produits et/ou services revendiqués pour une marque ne doit pas être admis (consid. 5).
LPM 2 lit. a. Les formes usuelles d'abréviation de dénominations génériques -- par ex. Telekom pour télécommunication --peuvent constituer à leur tour des dénominations génériques et font ainsi partie du domaine public (consid. 6).
LPM 1 al. 2 et LPM 2 lit. a. Lorsqu'une dénomination générique ou une marque composé d'éléments du domaine public est déposée en tant que marque figurative, l'étendue de sa protection se limite à la représentation graphique (consid. 6, 7, 10).
LPM 1 al. 2. Les marques composées d'une lettre et d'un seul chiffre -- même si le chiffre est écrit en toutes lettres -- sont des signes faibles (consid. 9).
LPM 31 al. 1. En procédure d'opposition, la similitude qui résulte de la combinaison de différentes marques sur lesquelles se fonde l'opposition ne peut pas être prise en compte (consid. 11).LPM 3 al. 1 lit. c. Il n'y a pas de risque de confusion lorsque l'identité de deux signes se limite aux éléments du domaine public (consid. 2 et 7). [texte complet]



Abweisung der Beschwerde im Widerspruchsverfahren; Akten-Nr. MA-WI 25/99


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