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"Fitnessstudio". Bundesgericht vom 13. April 2000
7. Wettbewerbsrecht
7.1 Lauterkeitsrecht
OG 55 Abs. 1 lit. b. Ein blosser Rückweisungsantrag der Sache an die Vorinstanz reicht nach ständiger Praxis dann aus, wenn das BGer, falls es die Rechtsauffassung der Berufungskläger für begründet erachtet, kein Endurteil fällen kann, sondern die Sache zu weiteren Abklärungen an die Vorinstanz zurückweisen muss (E. 1).
UWG 3 lit. a; OR 41; ZGB 4. Äusserungen, welche die Seriosität oder fachliche Qualitäten und Leistungen, deren Preise und Ruf sowie deren Solvenz und Durchsetzungsfähigkeit im Wettbewerb in Zweifel ziehen, sind grundsätzlich geeignet, potentielle Vertragspartner zu verunsichern und einen beabsichtigten Vertragsschluss zu verzögern. Haben die behaupteten Äusserungen die Adressaten jedoch lediglich dazu geführt, ihre Marktposition anders einzuschätzen und neue Forderungen zu stellen, so steht diese Beeinflussung derart ausserhalb des mit den Äusserungen beabsichtigten Motivationszusammenhangs, dass der adäquate Kausalzusammenhang fehlt (E. 3).
UWG 9 Abs. 1 lit. a; OG 55 Abs. 1 lit. c. Wiederholungsgefahr fehlt, wenn seit den Vertragsschlüssen keine unlauteren Äusserungen mehr vorgekommen sind und nicht behauptet wird, die Beklagten hätten ihr -- hypothetisch der rechtlichen Beurteilung zugrunde gelegtes -- Verhalten im kantonalen Verfahren als rechtmässig verteidigt (E. 4).
[Volltext]
7. Droit de la concurrence
7.1 Concurrence déloyale
OJ 55 al. 1 lit. h. De simples conclusions tendant au renvoi de la cause à la dernière instance cantonale sont suffisantes lorsque le TF, au cas où il estime l'argumentation juridique du recourant comme étant fondée, ne peut pas prononcer un jugement final, mais doit renvoyer la cause à la dernière instance cantonale pour nouvel examen (consid. 1).
LCD 3 lit. a; CO 41; CC 4. Des allégations mettant en doute le sérieux ou, sur le plan professionnel, les qualités des prestations, leurs prix et leur réputation ainsi que la solvabilité et la capacité à s'imposer au sein de la concurrence sont en principe susceptibles d'ébranler la confiance de cocontractants potentiels et ont pour but de différer la conclusion d'un contrat. En revanche, si les allégations prononcées n'ont amené leurs destinataires qu'à évaluer leur position sur le marché de manière différente et à formuler de nouvelles exigences, cette influence est par conséquent si éloignée du but recherché par les allégations que le lien de causalité adéquate fait défaut (consid. 3).
LCD 9 al. 1 lit. a; OJ 55 al. 1 lit. c. Il n'y a pas de risque de récidive lorsque aucune allégation déloyale n'a été prononcée depuis la conclusion des contrats et qu'il n'est pas allégué que les intimés auraient persisté à soutenir à tort dans la procédure cantonale que leur comportement aurait été conforme au droit
selon leur appréciation (consid. 4).
[texte complet]
I. Zivilabteilung; Abweisung der Berufung; Akten-Nr. 4C. 84/1999
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