sic! 2001 Ausgabe 2

"Baumkuchen (fig.)". Eidgenössische Rekurskommission für geistiges Eigentum vom 30. November 2000

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 2 lit. a. Zum Gemeingut gehören Zeichen, die nicht zur Identifikation von Waren oder Dienstleistungen dienen können und vom Publikum nicht als Hinweis auf eine bestimmte Betriebsherkunft verstanden werden (E. 2 und 3).
MSchG 2 lit. a. Auch Formmarken dürfen kein Gemeingut darstellen, sondern müssen sich vom einfachen, gewöhnlichen Formenschatz unterscheiden und durch ihre Eigenheiten im Gedächtnis der Abnehmer haften bleiben (E. 4).
MSchG 2 lit. a. Die Form eines alten Holzstückes gehört weder zu den geometrischen Grundformen noch zum üblichen banalen Formenschatz für Schokolade- und Konditorwaren; zudem ist die unregelmässige Oberflächenstruktur nicht funktionell bedingt. Trotzdem ist diese Form für Schokolade- und Konditorwaren allgemein verbreitet; sie wird von den Konsumenten nicht als Marke, sondern als äussere Gestalt einer Warengattung wahrgenommen und ist deshalb ein Freizeichen (E. 5 und 7).
MSchG 2 lit. a. Die Schutzfähigkeit ist nach einheitlichen Grundsätzen zu beurteilen, ohne Rücksicht auf die Art der Waren, für welche die Marke bestimmt ist (E. 6 und 7). . [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 2 lit. a. Appartiennent au domaine public les signes qui ne peuvent pas servir à distinguer des produits ou des services et qui ne sont pas perçus par le public comme l'indication d'une certaine provenance (consid. 2 et 3).
LPM 2 lit. a. Les marques en trois dimensions également ne doivent pas appartenir au domaine public, mais doivent au contraire se distinguer des formes simples et courantes, et être capables de rester gravées dans la mémoire des consommateurs de par leurs particularités (consid. 4).
LPM 2 lit. a. S'agissant de produits chocolatiers et de pâtisseries, la forme d'une vieille pièce de bois ne fait partie ni des formes géométriques de base,ni des autres formes usuelles; de plus, la structure irrégulière de la surface n'est pas due à sa nature fonctionnelle. Toutefois, en relation avec des produitschocolatiers et des pâtisseries, cette forme est généralement répandue; les consommateurs ne la perçoivent pas en tant que marque, mais en tant qu'apparence extérieure d'un certain genre de produits. Ainsi, elle constitue un signe appartenant au domaine public (consid. 5 et 7).
LPM 2 lit. a. Le caractère protégeable d'un signe doit être apprécié selon des critères uniformes, sans tenir compte du genre de produits pour lesquels la marque est destinée (consid. 6 et 7). [texte complet]



Abweisung der Beschwerde; Akten-Nr. MA-AA 08/00


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