sic! 2002 Ausgabe 4

"555 (fig.) / S 55". Eidgenössische Rekurskommission für geistiges Eigentum vom 21. Januar 2002

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 3 I c. Bei Warenidentität ist bei der Beurteilung der Verwechslungsgefahr von einem strengen Massstab auszugehen. Beim Vergleich sind die Marken nach ihrem Wortklang, Erscheinungsbild und allfälligen Sinngehalt zu prüfen, wobei es grundsätzlich genügt, dass nur auf einer dieser Ebenen Verwechslungsgefahr besteht. Zahlen werden bei Motorfahrzeugen häufig als Typenbezeichnungen verwendet und sind grundsätzlich als nicht oder nur schwach kennzeichnend zu betrachten (E. 4 - 6).
MSchG 3 I c. Kann bei Waren, für welche die Marken bestimmt sind, eine erhöhte Aufmerksamkeit erwartet werden, ist eine Verwechslungsgefahr grundsätzlich weniger leicht anzunehmen, als bei Massenartikeln des täglichen Gebrauchs. Bei grosser Marken- und Warenähnlichkeit jedoch darf eine Verwechslungsgefahr nicht leichthin verneint werden, da auch das Erinnerungsvermögen der durchschnittlichen Abnehmerschaft von Waren, die mit erhöhter Aufmerksamkeit gekauft werden, beschränkt bleibt (E. 8).
MSchG 3 I c. Im Widerspruchsverfahren sind einzig die sich gegenüberstehenden Registereintragungen zu vergleichen. Umstände des tatsächlichen Gebrauchs der in Frage stehenden Marken oder weitere Marken der Parteien oder Dritter dürfen nicht berücksichtigt werden (E. 9). . [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 3 al. 1 let. c. En cas d'identité des produits, il faut appliquer des critères rigoureux pour apprécier le risque de confusion. Lors de la comparaison, les marques doivent être examinées en tenant compte de leur effet sonore, de leur apparence graphique et de leur éventuelle signification. A cet égard, il suffit en principe qu'il existe un risque de confusion en application de l'un de ces critères. S'agissant de véhicules automobiles, les chiffres sont souvent utilisés comme dénomination de type et doivent en principe être considérés comme n'étant pas ou peu distinctifs (consid. 4 - 6).
LPM 3 al. 1 let. c. En principe, un risque de confusion doit être admis moins facilement si l'on peut attendre une attention accrue en présence des produits pour lesquels la marque est prévue, contrairement à ce qui se passe pour des marchandises de consommation de masse destinées à l'usage quotidien. Toutefois, en cas de forte similitude entre marques et produits, un risque de confusion ne doit pas d'emblée être exclu, dans la mesure où la capacité de mémorisation de l'acheteur moyen reste limitée, même pour des produits faisant l'objet d'une attention accrue (consid. 8).
LPM 3 al. 1 let. c. En procédure d'opposition, on ne compare que les enregistrements en cause. Les circonstances liées à l'usage effectif des marques en question ou les autres marques des parties ou des tiers ne doivent pas être pris en considération (consid. 9). [texte complet]



Abweisung der Beschwerde im Widerspruchsverfahren; Akten-Nr. MA-WI 21/01


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