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"Bearbull". Cour de justice de Genève du 14 fèvrier 2003
4. Droit des signes distinctifs
4.1 Marques
LCD 2, 3 d. Induire le public en erreur sur l'origine d'un produit ou d'un service, alors que cela pourrait être évité, et exploiter de manière parasite le renom d'un concurrent constituent des actes de concurrence déloyale (consid. 3a).
LPM 3 I c, 3 II, 78 I. Celui qui a utilisé une marque avant l'entrée en vigueur de la LPM et qui l'a déposée dans les deux ans suivant cette date jouit de droits antérieurs à ceux d'un déposant postérieur (consid. 3b).
CO 956. Afin d'éviter que des titulaires de raisons sociales ne monopolisent des dénominations du domaine public, l'usage de telles dénominations demeure possible, à condition que la raison postérieure se différencie néanmoins nettement de la raison antérieure (consid. 3c).
LPM 13 II e. Si la marque antérieure est utilisée par un tiers non comme marque mais dans une raison de commerce ou dans une enseigne, le risque de confusion s'apprécie sous l'angle de la LCD, voir des articles 28 et 29 CC (consid. 3d).
CO 956. Les raisons sociales doivent être comparées selon l'impression d'ensemble qu'elles laissent sur le public et en tenant compte principalement des éléments possédant une force distinctive particulière (consid. 4a).
LPM 3 I c. Pour qu'il y ait risque de confusion entre deux marques, il suffit que le signe postérieur suscite l'idée que les produits sont interchangeables, portant ainsi une atteinte notable à la force distinctive de la marque antérieure (consid. 4b).
LPM 3 I c. Dans le domaine de la finance, les termes «bull» et «bear» sont faibles et bénéficient donc seulement d'une protection restreinte (consid. 5).
LPM 3 I c. Des professionnels de la finance ne peuvent a priori confondre des conseils en matière de placements et des produits d'investissement (consid. 5).
[texte complet]
4. Kennzeichenrecht
4.1 Marken
UWG 2, 3 d. Die vermeidbare Irreführung des Publikums über die Herkunft einer Ware oder einer Dienstleistung und das parasitäre Ausnutzen des guten Rufs eines Mitbewerbers stellen unlautere Verhaltensweisen dar (E. 3a).
MSchG 3 I c, 3 II, 78 I. Wer eine Marke bereits vor dem Inkrafttreten des MSchG gebraucht hatte und diese innerhalb von zwei Jahren nach diesem Datum hinterlegte, geniesst gegenüber einem späteren Hinterleger vorgehende Rechte (E. 3b).
OR 956. Um zu verhindern, dass die Inhaber der Firma einer Personengesellschaft Wörter des Gemeinguts monopolisieren, bleibt der Gebrauch der betreffenden Bezeichnungen unter der Voraussetzung möglich, dass die spätere Firma sich deutlich von der älteren Firma unterscheidet (E. 3c).
MSchG 13 II e. Wenn die jüngere Marke von einem Dritten nicht markenmässig, sondern als Geschäftsfirma oder Enseigne verwendet wird, beurteilt sich die Verwechslungsgefahr nach UWG in Verbindung mit den Art. 28 und 29 ZGB (E. 3d).
OR 956. Firmen sind nach dem Gesamteindruck zu vergleichen, den sie beim Publikum hinterlassen und insbesondere unter der Berücksichtigung der Elemente, welche über eine besondere Unterscheidungskraft verfügen (E. 4a).
MSchG 3 I c. Damit zwischen zwei Marken eine Verwechslungsgefahr besteht, genügt es, wenn das spätere Zeichen die Vorstellung hervorruft, die Waren seien austauschbar, wenn also die Unterscheidungskraft der älteren Marke erheblich beeinträchtigt wird (E. 4b).
MSchG 3 I c. Im Finanzsektor handelt es sich bei den Begriffen «bull» und «bear» um schwache Zeichen, folglich geniessen sie nur einen beschränkten Schutz (E. 5).
MSchG 3 I c. Finanzfachleute können von vornherein Beratungen im Bereich Vermögensverwaltung und Investitionsprodukte nicht verwechseln (E. 5).
[Volltext]
Rejet de la demande; réf. c/30126/2001 -, ACJC/174/2003
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