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"Malbuner II". Bundesgericht vom 25. August 2003
2. Urheberrecht
2.3 Urheberrechtlicher Leistungsschutz
URG 61. Die Feststellungsklage ist lediglich zur Klärung individualisierter Rechtsbeziehungen, nicht hingegen zur Klärung allgemeiner Rechtsfragen zulässig (E. 2).
URG 7 III, 34. Eine Person ist nur dann befugt, den Prozess anstelle des Berechtigten in eigenem Namen zu führen, wenn dies gesetzlich vorgesehen ist. Im Unterschied zu Art. 7 Abs. 3 URG sieht Art. 34 URG für die einzelnen Leistungsschutzberechtigten eine selbstständige Prozessführungsbefugnis nicht vor. Einer analogen Anwendung von Art. 7 Abs. 3 URG steht entgegen, dass die Regelung von Art. 34 URG zwar ausdrücklich in Anlehnung an Art. 7 URG erlassen, die dort vorgesehene prozessstandschaftliche Vertretungsbefugnis jedoch gerade nicht übernommen worden ist. Auch die Analogieregelung von Art. 38 URG verweist nicht auf Art. 7 Abs. 3 URG (E. 3).
ZGB 28a III; OR 41; URG 33, 62 II. Die spezialgesetzlichen Normen des URG schliessen im von ihnen erfassten Bereich die Ansprüche aus dem allgemeinen Persönlichkeitsrecht aus und regeln die Rechtszuständigkeit an Ansprüchen aus der unbefugten Verwendung von Leistungen, für die verwandte Schutzrechte bestehen, insoweit abschliessend, als vermögenswerte Ansprüche in Frage stehen. Der allgemeine Anspruch auf Genugtuung nach Art. 49 OR ist bei einer gegen das Persönlichkeitsrecht verstossenden Verwendung von Darbietungen, für die verwandte Schutzrechte bestehen, durch spezialgesetzliche Regelung hingegen nicht ausgeschlossen (E. 4).
[Volltext]
2. Droit d'auteur
2.3 Droits voisins
LDA 61. L'action en constatation est recevable uniquement pour clarifier des rapports de droit individualisés, non pour éclaircir des questions juridiques générales (consid. 2).
LDA 7 III, 34. Une personne ne peut agir en justice en son propre nom à la place d'une autre partie que si la loi le prévoit. Contrairement à l'art. 7 al. 3 LDA, l'art. 34 LDA ne prévoit pas que chacun des titulaires de droits voisins aurait la qualité pour agir. Une application par analogie de l'art. 7 al. 3 LDA n'est pas possible dans la mesure où la réglementation de l'art. 34 LDA a été certes édictée en se fondant expressément sur l'art. 7 LDA, mais n'a toutefois pas repris la possibilité prévue dans ce dernier article de faire valoir en justice en son propre nom le droit d'un tiers. Le renvoi de l'art. 38 LDA ne concerne pas l'art. 7 al. 3 LDA (consid. 3).
CC 28a III; CO 41; LDA 33, 62 II. Dans les domaines couverts par la LDA, ses dispositions spéciales excluent l'application des droits généraux découlant du droit de la personnalité. Elles règlent de manière exhaustive la titularité des droits découlant d'une utilisation non autorisée de prestations protégées par les droits voisins, dans la mesure où des droits patrimoniaux sont en jeu. Le droit général à la réparation morale de l'art. 49 CO n'est en revanche pas exclu par la législation spéciale lorsqu'une utilisation d'exécutions protégées par les droits voisins viole le droit de la personnalité (consid. 4).
[texte complet]
Abweisung der Berufung; Akten-Nr. 4C.138/2003
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