sic! 2011 Ausgabe 2

«V (fig.)». Bundesgericht vom 5. Oktober 2010

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 2 a. Ein Zeichen in der Grundform eines Buchstabens gehört als Elementarzeichen zum Gemeingut. Die gestrichelte, feine weisse Linie entlang des Randes ist als gestalterisches Element zu schwach, um selbständig wahrgenommen zu werden (E. 2).
MSchG 2 a. Für die Frage der Unterscheidungskraft ist die Markenart nicht entscheidend. Wird das Zeichen «V (fig.)» vom Adressaten als Buchstabe wahrgenommen, beurteilt sich dessen Unterscheidungskraft anhand der Kriterien für Elementarzeichen, gleichgültig ob es auch als Bildzeichen (gleichschenkliger Winkel) qualifiziert werden kann (E. 3). [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 2 a. Un signe dont la forme de base est une lettre fait partie du domaine public. Une fine ligne pointillée entourant la lettre est un élément graphique trop faible pour pouvoir être perçu de manière indépendante (consid. 2).
LPM 2 a. Pour apprécier le caractère distinctif, la catégorie de marque n’est pas déterminante. Si le signe «V (fig.)» est compris par le destinataire comme une lettre, son caractère distinctif sera jugé à l’aide des critères applicables aux signes élémentaires, indépendamment de la question de savoir si le signe peut aussi être considéré comme une marque figurative (angle isocèle) (consid. 3). [texte complet]



I. Zivilrechtliche Abteilung; Abweisung der Beschwerde; Akten-Nr. 4A_261/2010

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