sic! 1999 Ausgabe 6

"Wave Rave / the Wave". Eidgenössische Rekurskommission für geistiges Eigentum vom 23. Juni 1999

4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Häufig verwendete graphische Elemente wie die Einrahmung eines Wortelementes sind selbst bei auffälliger Gestaltung wenig aussagekräftig und bleiben nicht nachhaltig im Gedächtnis haften. Sie sind deshalb nicht zur Erzielung eines unterschiedlichen Gesamteindrucks geeignet, um eine aus Wort- und Bildbestandteilen zusammengesetzte Marke von einer reinen Wortmarke zu unterscheiden (E. 4).
MSchG 3 Abs. 1 lit. c. "Wave Rave" und "the Wave" unterscheiden sich genügend hinsichtlich Silbenmass, Aussprachekadenz und Vokalfolge, um einen unterschiedlichen phonetischen Eindruck zu hinterlassen (E. 5).
MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Eine Markenähnlichkeit bezüglich des Sinngehaltes wird angenommen, wenn die eine Marke eine Übersetzung der anderen Marke, ein Synonym oder dessen Gegenteil beinhaltet oder auch (allenfalls nur in Sonderfällen), wenn eine inhaltliche Verwandtschaft vorliegt (E. 5).
MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Mittelbare Verwechselbarkeit liegt vor, wenn die Abnehmerkreise zwar die Unterschiede zwischen zwei Marken erkennen, aber infolge bestehender Ähnlichkeiten falsche Zusammenhänge vermuten (E. 6). [Volltext]


4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 3 al. 1 lit. c. Même en cas de conception particulière, les éléments graphiques fréquemment utilisés, tel que l'encadrement d'un élément verbal, n'ont qu'une portée distinctive restreinte et ne laissent pas de souvenir durable. Partant, il n'est pas possible d'avoir une impression d'ensemble différenciée permettant de pouvoir distinguer une marque composée d'éléments verbaux et graphiques d'une marque purement verbale (consid. 4).
LPM 3 al. 1 lit. c. "Wave Rave" et "the Wave" se distinguent suffisamment sur le plan de la métrique, de la cadence de prononciation et de la séquence des voyelles pour pouvoir laisser une impression phonétique différente (consid. 5).
LPM 3 al. 1 lit. c. Concernant le sens des marques, il y a similitude entre elles lorsque l'une des marques constitue la traduction, un synonyme ou le contraire de l'autre, ou lorsque, dans certains cas particuliers, le contenu suggère une relation entre les deux (consid. 5).
LPM 3 al. 1 lit. c. Il y a confusion indirecte lorsque les consommateurs reconnaissent certes les différences entre les marques, mais qu'ils en déduisent de faux rapports entre elles sur la base de similitudes existantes (consid. 6). [texte complet]



Gutheissung der Beschwerde und Abweisung des Widerspruchs; Akten Nr. MA-WI 26/98


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