sic! 2000 Ausgabe 5
IVAN CHERPILLOD*

Marques défensives, de réserve, et dépôts frauduleux

Sous l'empire de l'ancien droit des marques, la nullité des marques défensives et de réserve ne faisait pas de doute. Cette jurisprudence se fondait sur le principe que des signes qui n'étaient pas destinés à une utilisation effective ne pouvaient bénéficier de la protection de la loi. En va-t-il de même depuis l'entrée en vigueur de la LPM? Ne doit-on pas plutôt juger que seuls les dépôts frauduleux sont nuls? Mais comment définir la notion de "dépôt frauduleux"? [texte complet]


Unter dem alten Markenrecht bestand kein Zweifel darüber, dass defensive und Vorratsmarken nichtig waren. Diese Rechtsprechung gründete auf dem Prinzip, dass die zu keinem effektiven Gebrauch bestimmten Zeichen den Schutz des Gesetzes nicht geniessen konnten. Gilt dies nun auch nach dem Inkrafttreten des MSchG noch? Sollte man nicht eher einzig noch missbräuchliche Hinterlegungen als nichtig betrachten? Wie aber soll der Begriff der "missbräuchlichen Hinterlegung" definiert werden? . [Volltext]



* Avocat, professeur à l'Université de Lausanne.


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