sic! 2001 Ausgabe 1

"Vitinorm/Vitisol (fig.)". Commission fédérale de recours en matière de propriété intellectuelle du 6 novembre 2000

4. Droit des signes distinctifs

4.1 Marques

LPM 3 al. 1 lit. c. La similitude entre deux dénominations, prises dans leur ensemble, dû à la présence d'un préfixe commun peut être nettement diminué lorsque les consonnes constitutives des syllabes terminales sont suffisamment différentes phonétiquement ou lorsque la partie figurative de la marque attaquée est au moins aussi importante que la partie verbale (consid. 2).
LPM 3 al. 1 lit. c. Lorsque la dénomination sur laquelle se fonde l'opposition, est à la limite de ce qui est protégeable comme marque, la différence requise doit être jugée de manière d'autant moins sévère (consid. 3).
LPM 3 al. 1 lit. c. Lorsque le préfixe commun est descriptif et par conséquent dépourvu de force distinctive, il ne peut à lui seul créer un risque de confusion entre les marques concernées. Il ne peut y avoir de risque de confusion lorsque le seul élément commun aux marques en conflit présente un caractère descriptif ou fait partie du domaine public (consid. 3).
LPM 3. L'absence de risque de confusion est confirmée lorsque la signification de chacune des marques en présence renvoie clairement à des notions différentes (consid. 5). LPM 3. La Commission fédérale de recours apprécie le risque de confusion en comparant les marques en conflit telles qu'elles sont enregistrées et non au regard de la manière dont elles sont utilisées (consid. 6).
LPM 31 al. 1. Le pouvoir d'examen de la Commission fédérale de recours porte sur les motifs relatifs d'exclusion et non sur les motifs absolus d'exclusion de la protection (consid. 7). [texte complet]


4. Kennzeichenrecht

4.1 Marken

MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Die Gleichartigkeit zwischen zwei in ihrer Gesamtheit betrachteten Bezeichnungen, die auf das Vorliegen einer gemeinsamen Vorsilbe zurückzuführen ist, kann deutlich verringert werden, wenn die Konsonanten, welche die Endsilben bilden, sich phonetisch in ausreichender Weise unterscheiden, oder wenn das Bildelement der angefochtenen Marke wenigstens gleich wichtig ist wie das Wortelement (E. 2).
MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Liegt die Bezeichnung, auf welche sich der Widerspruch stützt, an der Grenze des als Marke Schutzwürdigen, so ist die verlangte Unterscheidung entsprechend weniger streng zu beurteilen (E. 3).
MSchG 3 Abs. 1 lit. c. Wenn die gemeinsame Vorsilbe beschreibend ist und folglich keine Unterscheidungskraft besitzt, kann sie allein keine Verwechslungsgefahr zwischen den betreffenden Marken schaffen. Es kann keine Verwechslungsgefahr vorliegen, wenn das einzige den Konfliktmarken gemeinsame Element beschreibenden Charakter aufweist oder gemeinfrei ist (E. 3).
MSchG 3. Das Fehlen einer Verwechslungsgefahr wird dadurch bestätigt, dass die jeweiligen Marken deutlich verschiedene Begriffsbedeutungen aufweisen (E. 5). MSchG 3. Die Eidgenössische Rekurskommission beurteilt die Verwechslungsgefahr aufgrund eines Vergleichs danach, wie die Konfliktmarken eingetragen sind, und nicht nach der Art und Weise, in der sie verwendet werden (E. 6).
MSchG 31 Abs. 1. Das Ermessen der Eidgenössischen Rekurskommission hat die relativen und nicht die absoluten Schutzausschlussgründe zum Gegenstand (E. 7). . [Volltext]



Rejet du recours dans la procédure d'opposition; réf. MA-W1 35/99


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