sic! 2001 Ausgabe 7

"Vervielfältigungen in Betrieben". Eidgenössische Schiedskommission für die Verwertung von Urheberrechten und verwandten Schutzrechten vom 13. Dezember 2000

2. Urheberrecht

2.4 Verwertungsrecht

URG 19 Abs. 1 lit. c, URG 20 Abs. 2, 3. Die Leerkassettenvergütung nach Art. 20 Abs. 3 URG ersetzt nicht die nach Art. 20 Abs. 2 URG geschuldete Vergütung für das Vervielfältigen gemäss Art. 19 Abs. 1 lit. c URG. Die gesetzliche Grundlage für eine zusätzliche Vergütung für Überspielungen in Betrieben und Verwaltungen nebst der Leerkassettenabgabe ist damit gegeben (E. 4g).
URG 20 Abs. 4, URG 40 Abs. 1 lit. b, URG 59 Abs. 2; URV 15 Abs. 1. Ein Tarif kann nur soweit von der Schiedskommission genehmigt werden, wie er ihrer Kognition unterliegt. Da der zunächst vorgelegte Tarif nicht zwischen denjenigen Rechten unterschied, die zwingend unter Bundesaufsicht stehen, und denjenigen, welche die Verwertungsgesellschaften allenfalls freiwillig kollektiv wahrnehmen, verlangte die Schiedskommission eine Überarbeitung der Tarifvorlage (E. 5).
URG 59 Abs. 1, URG 60. Ein Vergleich mit den Schultarifen ist nicht möglich, da diese Tarife einen anderen Nutzungsbereich betreffen und mit anderen Nutzerverbänden ausgehandelt worden sind. Die Art und Weise der Festlegung der Vergütungsansätze ist somit zu wenig transparent und erlaubt keine Überprüfung der Angemessenheit. Es müssen die nötigen tarifrelevanten Abklärungen durchgeführt werden (E. 6c und d). . [Volltext]


2. Droit d'auteur

2.4 Gestion des droits

LDA 19 al. 1 let. c, LDA 20 al. 2, 3. La rémunération pour cassettes vierges, prévue à l'art. 20 al. 3 LDA, ne remplace pas la rémunération due en application de l'art. 20 al. 2 LDA pour la reproduction au sens de l'art. 19 al. 1 lit. c LDA. La rémunération supplémentaire pour des reproductions au sein d'entreprises ou d'administrations, en plus de la redevance pour les cassettes vierges, repose ainsi sur une base légale (consid. 4g).
LDA 20 al. 4, LDA 40 al. 1 let. b, LDA 59 al. 2; ODAu 15 al. 1. Un tarif ne peut être approuvé par la Commission arbitrale que dans la mesure où il est soumis à sa cognition. La Commission arbitrale a exigé un remaniement du projet de tarif puisque la version proposée ne faisait pas la différence entre les droits soumis obligatoirement à la surveillance de l'autorité fédérale et ceux que les sociétés de gestion gèrent collectivement sur une base volontaire (consid. 5).
LDA 59 al. 1, LDA 60. Une comparaison avec les tarifs scolaires n'est pas possible, car ces tarifs concernent un autre domaine d'utilisation et ont été négociés avec d'autres associations d'utilisateurs. La manière dont les bases de la rémunération ont été déterminées est ainsi trop peu transparente et ne permet pas le contrôle de l'opportunité. Le tarif doit ainsi faire l'objet des clarifications nécessaires (consid. 6c et d). [texte complet]



Nichtgenehmigung des Gemeinsamen Tarifs 10 (Überspielungen auf leere Ton- und Tonbildträger in Betrieben)


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